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Le week-end annoncé comme "ensoleillé" a été d'un gris uniforme et désespérant !
Avec en prime, un petit vent du Nord bien froid.
Cela ne m'a pas empêché de faire 317,88 km, en 13h08’35, soit 24,18 kmh, étalé sur 2 jours.

19 Mars 2016 (Samedi)
Endurance en JET 3x125, roues Matter 125 One20Five F0 usées en 122 mm.
3 runs enchainés de 47,76 km, soit 3 x 47,76 = 143,28 km, de 11h17 à 17h10’30, soit 5h53’30, soit 24,31 kmh
Tracé : http://www.openrunner.com/index.php?id=1629243
Mes roues sont maintenant très usées, le roulage n’est pas bon, le rebond a disparu.
La météo avait annoncé une journée ensoleillée avec 10°C.
En fait le ciel est très nuageux, très gris, il fait sombre et froid (maximum 6°C).
Le vent souffle du Nord, entre 10 et 20 kmh. Malgré 2 jours de repos, je me sens fatigué, et j’ai mal au dos.
Mon erreur a été de reprendre les pompes. La Kiné ne peut rien pour ça : je dois vraiment mettre les pompes en stand by.
J’aurais voulu faire 4 runs, mais vu les douleurs au dos, ce sera 3 rides. Qui sont passés en un éclair, comme en 1 heure.
Ces presques 6 heures passées le long de la piste m’ont donné l’occasion de regarder les petites choses qui s’y passent...
Sur la piste de La Maxe, de nouveaux patches de goudron, longitudinaux, saupoudrés de sable gris, sont apparus.
Leur but est de colmater les fissures de la piste, pourtant bien lisse à cet endroit.
Voici environ 2 ans qu’on a vu démarrer des travaux dans les champs vers Bousse.
Il s’agit en fait de l’exploitation du sable de rivière : toute cette zone étant très plate, elle constitue en fait une immense plaine sédimentaire.
Le long de la digue entre Illange et Thionville, les quais d’acostage sont très sales.
Les péniches qui restent amarées dans ce coin laissent toujours des quantités d’ordures (seaux, bidons, matelas, sacs poubelles...)
Je trouve que la situation a empiré dernièrement.
Justement, une estafette de la gendarmerie est garée devant une péniche, et je vois 2 gendarmes en conversation avec les patrons de cette embarcation.
Je ne sais pas si c’est en rapport avec les ordures, mais comme il y en a une grande quantité en bas du bateau, on peut supposer que oui.
J’ai peu bu sur ce ride, (environ 1,15 litre de boisson isotonique) avec ce froid. (je porte deux vestes et des gants).
Mangé un peu de pain complet au miel.
Il y a relativement peu de monde sur la piste, et le moral n’est pas au beau fixe, ni la forme.
Détail des moyennes :
Run 1 :
Aller : de 11h17 à 12h15, soit 58’ pour 23,88 km, soit 24,70 kmh
Retour : de 12h15 à 13h10, soit 55’ pour 23,88 km, soit 26,05 kmh
Moyenne du Run 1 : 1h53 pour 47,76 km, soit 25,35 kmh
1 min. de pause ravito à ma voiture.
Run 2 :
Aller : de 13h11 à 14h13, soit 1h02 pour 23,88 km, soit 23,10 kmh
Retour : de 14h13 à 15h07’30, soit 54’30 pour 23,88 km, soit 26,28 kmh
Moyenne du Run 2 : 1h56’30 pour 47,76 km, soit 24,59 kmh
1 min. de pause ravito à ma voiture.
Run 3 :
Aller : de 15h08’30 à 16h12’30, soit 1h04 pour 22,38 km, soit 23,88 kmh
Retour : de 16h12’30 à 17h10’30, soit 58’ pour 23,88 km, soit 24,70 kmh
Moyenne du Run 3 : 1h58 pour 47,76 km, soit 24,28 kmh
Moyenne de tous les runs :
3 runs enchainés de 47,76 km, soit 3 x 47,76 = 143,28 km, de 11h17 à 17h10’30, soit 5h53’30, soit 24,31 kmh

20 Mars 2016 (Dimanche)
Roulage le matin basse intensité en Bont Jet 2 pts Platines 3x125 Powerslide XXX, roues Roll’x X’Dual 125 F0 usées en 123.
C’est un test des roues Roll’x X’Dual usées en 123, pour voir si leur roulage est meilleur que celui des Matter usées en 121 ou 122.
Etant donné que ces Roll’x X’Dual sont de la première génération, noyau 110 mm pour gomme 125, je m’étais dit qu’il y aurait plus de rebond.
En fait ce n’est pas du tout évident. Elles sont dures et sèches : je vais repasser en Matter usées.
Le but est aussi et surtout de faire une petite séance de récupération active. Le dos est toujours en vrac et la fatigue est générale.
Néanmoins au bout d’1 heure les sensations sont meilleures.
Vent plus sensible que la veille, 20 kmh, température froide 4°C, sol bien sec, mais ciel gris et nuageux.
Pour un premier jour de printemps, c’est assez moche. La plupart des arbres sont totalement nus.
Trajet aller-retour pour atteindre la boucle 6,451 km
http://www.openrunner.com/index.php?id=4565842
Boucle d’entrainement 3,109 km : 8 tours
(8 x 3,109 = 24,872 km) + 6,451 = 31,323 km
http://www.openrunner.com/index.php?id=4523560
De 07h44 à 09h04’20, soit 1h20’20 pour 31,323 km, soit 23,39 kmh.
L’après-midi :
Endurance en JET 3x125, roues Matter 125 One20Five F0 usées en 122 mm.
3 runs enchainés de 47,76 km, soit 3 x 47,76 = 143,28 km, de 11h31 à 17h25’45, soit 5h54’45, soit 24,23 kmh
Tracé : http://www.openrunner.com/index.php?id=1629243
Il m’en a fallu, du courage ! Le dos s’est un peu calmé, mais j’étais vraiment cuit.
C’est encore une journée grise et froide, avec plus de vent qu’hier.
Le vent souffle du Nord à 20 kmh, avec quelques rafales à 30 kmh.
Les promeneurs sont assez peu nombreux pour un dimanche : ils arrivent tard, vers 15h30, et repartent tôt, vers 16h30.
Je cumule la fatigue d’hier avec un vent qui me joue des tours.
L’éolienne d’Illange tourne au ralenti, mais, à l’aller de mon 3eme run, celle-ci tourne à fond ! Je me disais bien que j’avais du mal à avancer...
A mon passage dans l’autre sens 20 minutes plus tard, c’est le retour au calme.
Peu bu, comme hier, environ 1,15 litre de boisson isotonique.
Mangé un peu de pain complet au miel, biscuits, figues sèches.
Détail des moyennes :
Run 1 :
Aller : de 11h31 à 12h30’30, soit 59’30 pour 23,88 km, soit 24,08 kmh
Retour : de 12h30’30 à 13h24, soit 53’30 pour 23,88 km, soit 26,78 kmh
Moyenne du Run 1 : 1h53 pour 47,76 km, soit 25,35 kmh
1 min. de pause ravito à ma voiture.
Run 2 :
Aller : de 13h25 à 14h30, soit 1h05 pour 23,88 km, soit 22,04 kmh
Retour : de 14h30 à 15h23’30, soit 53’30 pour 23,88 km, soit 26,78 kmh
Moyenne du Run 2 : 1h58’30 pour 47,76 km, soit 24,18 kmh
1’30 de pause ravito à ma voiture.
Run 3 :
Aller : de 15h25 à 16h30’30, soit 1h05’30 pour 22,38 km, soit 21,87 kmh
Retour : de 16h30’30 à 17h25’45, soit 55’15 pour 23,88 km, soit 25,93 kmh
Moyenne du Run 3 : 2h00’45 pour 47,76 km, soit 23,73 kmh
Moyenne de tous les runs :
3 runs enchainés de 47,76 km, soit 3 x 47,76 = 143,28 km, de 11h31 à 17h25’45, soit 5h54’45, soit 24,23 kmh
Total du week-end : (2 x 143,28 km) + 31,32 km, soit 317,88 km, en 5h53’30 + 5h54’45 + 1h20’20, soit 13h08’35, soit 24,18 kmh.

dis Gui_gui, t'en fais pas un peu trop en ce moment ?

Oui, c'est clair. Je ne vais pas chercher à le nier. Je vais y aller plus tranquille cette semaine.
C'est la première fois que je fais plus de 300 km répartis en un WE, 2 WE de suite. Je voulais voir où en était la moyenne dans ce cas de figure.
ça fait du 24,6 kmh de moyenne sur les 600 bornes de ces 2 week-ends. J'avais de toutes façons prévu du repos après ce gros bloc.
Et merci Dr Valino

Toujours impressionnant, ça fait beaucoup de kms. Qu'en est il du D+ ? Est ce uniquement du plat ?

Tu as un objectif particulier ? une course ?

Alors, pour ce qui est du dénivelé, les berges de la Moselle sont extra-plates !
Par contre côté vent, c'est un couloir à courants d'air : bien souvent, alors que le temps est calme ailleurs, ça souffle fortement au-dessus de l'eau.
Je m'entraine par ailleurs sur une boucle de 3 km dont le dénivelé est de 19 mètres, j'en fais entre 8 et 16 tours, à des allures diverses et variées.
Je n'ai pas d'objectif, si par objectif on entend une préparation à une épreuve dont la date, le lieu et surtout les enjeux ont été définis.
Je ne ressens pas cette nécessité pour trouver la motivation. A chaque fois que j'ai planifié un truc longtemps à l'avance, je me suis retrouvé malade le jour J (ou du moins pas en forme)…

Avec un tel entrainement se serai quand même fort dommage de ne pas se mesurer à d'autres lors d'une ou plusieurs epreuves

Et plutôt que de se definir des objectifs lors d'une epreuve pourquoi ne pas y aller cool et profiter sans pression de l'évenement
Les résultats seront se qu'ils seront mais tu aura passé un bon moment non ?

Se mesurer à d'autres et y aller cool... c'est un peu contradictoire, non ? Ceux par rapport à qui on se mesure, c'est plutôt ceux en qui on place une haute estime, et donc... on y va pas trop cool
Mais ce qui est sûr, c'est que les compèts sont l'occasion de voir de très bons patineurs, c'est ça qui me manque le plus.

Dans les courses longues distances, c'est une course avec soi-même ou la gestion et l'expérience sont majeurs. Le classement est secondaire.
ça permet aussi et surtout de découvrir d'autres circuits et paysages.

Gui-gui connaît un peu quand même.
Il a gagné les 24h de Quiberon l'an dernier alors qu'il n'était pas dans une forme optimale. Il a battu le record de l'épreuve.

Chez les solos hommes, la performance est, là encore assez extraordinaire puisque le record détenu par « oxyde Kev Solo » (524.188 km) est pulvérisé par Gui Gui (532.336 km) à une moyenne de 22 km/h… on se demande si celui-là s’est arrêté pour les ravitaillements ! Le podium est complété par « Sixties » (510.608 km) et « un petit brun à la GROL » (491.596 km).

La question est : Est-ce que cette année tu iras au Mans?

Je ne remet pas en cause son niveau, au contraire.

C'est juste que je m'interroge sur les motivations de ses grosses sorties. Je trouve un peu dommage de ne pas profiter plus de ce niveau.

De mon côté, je trouve ça encore plus fou de faire des perfs comme ça, juste pour rouler tout seul

En fait j'admire vraiment ceux qui s'entraînent dur pour une date, et qui le jour J sont effectivement au top.
Ça fait beaucoup de stress à gérer, et c'est sûrement ça qui me fait peur. Mais il n'y a pas que ça, il y a tout l'aspect logistique, disponibilité, faisabilité quand on participe à des épreuves, et ça je dirais que c'est la raison principale de mon isolement.
Ensuite, mes motivations : la question revient de temps en temps sur le tapis.
Il y a comme une sorte d'inutilité, n'est-ce-pas, à s'entrainer ainsi seul. Le problème vient en fait de cette notion d'utilité.
Les choses gratuites et inutiles sont parfois mal comprises. Quand un joueur de guitare s'isole dans sa piaule pour jouer du Jimi Hendrix, il le fait gratuitement. Les cordes en métal lui font mal aux doigts, mais il ne se décourage pas, au contraire, il s'applique. Même s'il n'a pas forcément l'intention de monter un concert.
Enfin, où est la frontière entre "entraînement" et "épreuve" ? un sportif ne fait pas que s'entrainer, il valide aussi ses acquis lors des épreuves.
Mais parfois il "joue" certaines épreuves comme des séances d'entrainement, c'est-à-dire en se laissant de la marge, sans trop se cramer. Inversement, il "joue" parfois certaines séances d'entrainement comme de véritables épreuves, en donnant tout.
Voilà pourquoi certaines de mes séances d'entrainement ressemblent à des défis, parfois difficiles à relever…
Et voilà pourquoi aussi je n'emploie pas trop le mot "entrainement" pour moi-même, ce mot instaurant une frontière trop nette entre "entrainement" et "épreuve", frontière qui pour moi n'a pas de sens réel.

S'entrainer seul est nettement plus dur qu'à plusieurs pour plusieurs raisons :

1) En cas de vent, personne pour faire le relais
2) On se motive soi-même et pas par rapport aux autres genre, il va plus vite, je vais prendre sa trace et essayer de le dépasser
3) Personne pour dire : "allez allez" entre autres
4) On a chacun se propre technique et on ne peut pas voir celle des autres
5) Plus dur de reprendre la route seul après une pause
5) Quand il s'agit de faire le retour...

Mais justement, ça forge mieux la personnalité et ça permet de mieux se dépasser le jour J

Je comprend ton point de vue.
Je viens du cyclisme et du triathlon longue distance. Et il est vrai que pour faire un Ironman de type Embrunman ou l'Altriman, on se sert de courses de préparation et de séances "clés" comme la marmotte ou les 3 Ballons pour arriver au top au jour de l'épreuve et surtout plein de confiance en soi.

Je suis épaté de voir que tu restes motivé pour faire tes sorties sans qu'il y ai d'objectif au bout.
On fonctionne tous différement et c'est toujours intéressant de comprendre ce qui motive chacun.

Régis a écrit :S'entrainer seul est nettement plus dur qu'à plusieurs pour plusieurs raisons :

1) En cas de vent, personne pour faire le relais
2) On se motive soi-même et pas par rapport aux autres genre, il va plus vite, je vais prendre sa trace et essayer de le dépasser
3) Personne pour dire : "allez allez" entre autres
4) On a chacun se propre technique et on ne peut pas voir celle des autres
5) Plus dur de reprendre la route seul après une pause
5) Quand il s'agit de faire le retour...

Mais justement, ça forge mieux la personnalité et ça permet de mieux se dépasser le jour J

Il y a des avantages dans les deux conditions.
En point négatif à rouler seul tu as aussi:
- naturellement on a tendance à rester dans sa zone de confort
- on ne travaille pas la technique en peloton (placement, ...)
- on n'a pas à subir les relances et les changements de rythme
- on risque de tomber dans la lassitude et une certaine fatigue psychologique.

maltese a écrit :

Régis a écrit :S'entrainer seul est nettement plus dur qu'à plusieurs pour plusieurs raisons :

1) En cas de vent, personne pour faire le relais
2) On se motive soi-même et pas par rapport aux autres genre, il va plus vite, je vais prendre sa trace et essayer de le dépasser
3) Personne pour dire : "allez allez" entre autres
4) On a chacun se propre technique et on ne peut pas voir celle des autres
5) Plus dur de reprendre la route seul après une pause
5) Quand il s'agit de faire le retour...

Mais justement, ça forge mieux la personnalité et ça permet de mieux se dépasser le jour J

Il y a des avantages dans les deux conditions.
En point négatif à rouler seul tu as aussi:
- naturellement on a tendance à rester dans sa zone de confort
- on ne travaille pas la technique en peloton (placement, ...)
- on n'a pas à subir les relances et les changements de rythme
- on risque de tomber dans la lassitude et une certaine fatigue psychologique.

Oui, pour l'histoire du peleton, c'est une autre histoire bien entendu, mais il faut aussi savoir s'entrainer autant seul qu'à 2 ou a plusieurs, il y a plusieurs cas de figures, on peut autant lâcher un peloton qu'être lâché, le plus dur, quand on est lâché, est de revenir et quand on s'entraine seul, ce cas est certainement utile.

On apprend seulement à compter sur soi un moment donné.

1) En cas de vent, personne pour faire le relais
Effectivement, on se prend tout le vent, ça fait partie du jeu.
2) On se motive soi-même et pas par rapport aux autres genre, il va plus vite, je vais prendre sa trace et essayer de le dépasser
Oui, c’est parfois difficile de garder le rythme quand on est seul, ce qu’il faut c’est trouver le bon rythme.
3) Personne pour dire : "allez allez" entre autres
Là ça va on peut survivre sans ça !
4) On a chacun se propre technique et on ne peut pas voir celle des autres
Il y a une super invention : internet, on y voit des vidéos, etc… mais c’est vrai que ça vaut pas le réel.
5) Plus dur de reprendre la route seul après une pause
Non alors là pas du tout. Déjà, les pauses sont rares et vivement expédiées.
J’ai souvent lu des retours au sujet de cette fameuse difficulté à repartir après une pause et j’avoue que cela m’est totalement inconnu.
Au contraire après une pause pipi on est revigoré et ça repart de plus belle.
6) Quand il s'agit de faire le retour...
Suffit de savoir compter ! À l’aller, chaque km compte double (c’est ce qu’il faut se dire…)
7) ça forge mieux la personnalité et ça permet de mieux se dépasser le jour J
Non, pas question de dire si c’est mieux pour la personnalité ou moins bien. Chacun est comme il est.
naturellement on a tendance à rester dans sa zone de confort
Sur du long, oui, et ça vaut mieux d’ailleurs. Par contre sur des speeds courts de 30 à 40 km je peux m’imposer un rythme non-stop à fond. Mais je reconnais que la tentation de relâcher la pression est grande.
9) on ne travaille pas la technique en peloton (placement, ...)
Certes ! J’ai besoin d’une distance de sécurité : trop peur de m’emmeler les pinceaux et de me foutre par terre !
10) on n'a pas à subir les relances et les changements de rythme
En effet. D’ailleurs pour casser la monotonie de mes runs il m’arrive de prendre en chasse un vélo course…
Mais c’est pas comme des attaques incessantes auxquelles ils faut répondre, c’est clair.
11) on risque de tomber dans la lassitude et une certaine fatigue psychologique.
Il faut bien se dire qu’on aura pas toujours des potes avec qui rouler.
Je connais des gens qui ne peuvent pas faire du sport seuls. Compagnie obligée.
Et en plus, cette compagnie ne les met pas forcément à l’abri de la fatigue psychologique.
Personnellement, je trouve ça très excitant d’avoir de la compagnie pour rouler, mais si le vague à l’âme s’installe, il suffit de l’accepter et de vivre avec.

Mais en 10 ans de roulage Mosellan, je n’ai rencontré qu’une seule fois un gars qui roulait plus vite que moi !
Il s’agit du capitaine de l’équipe que j’intégrai en 2012 pour participer aux 6h de Troyes et aux 24h du Mans.
Avis aux vitesseux du coin, s’il y en a ?

Merci pour tes réponses.

Oui, chacun est comme il le ressent.

26 Mars 2016 (Samedi)
Endurance en JET 3x125, roues Megacruiser 125 déjà usées en 124 mm.
3 runs enchainés de 47,76 km, soit 3 x 47,76 = 143,28 km, de 13h32 à 19h21’30, soit 5h49’30, soit 24,59 kmh
Tracé : http://www.openrunner.com/index.php?id=1629243
Mes 2 jeux de Matter One20Five sont complètement morts, alors je me rabats sur mes Megacruiser. (en désespoir de cause)
Les Megacruiser noires s’usent extrêmement vite, leur surface devient rugueuse.
Comme elles ont déjà perdu 1 mm environ de diamètre, elles sont déjà un peu plus maniables, en dépit de leur raideur.
Les quelques passages sur piste humide ont été délicats, ces roues dérapant fortement sur mouillé.
Vers Uckange, c’est là où c’était le plus humide : la piste est saupoudrée de pétales blancs.
Tous les aubépiniers sont en fleurs, embaumant l’air de senteurs sucrées. Les chênes sont en train de débourrer.
Je jurerais que j’ai vu les arbres fleurir durant cette journée magnifique.
La journée a commencé avec de la brume, puis le soleil s’est maintenu toute la journée dans un ciel de plus en plus bleu.
La température a grimpé jusqu’à 14°C à l’ombre, pour rebaisser à 10°C le soir.
Le vent a soufflé du Sud-Est à 20 kmh, avec quelques rafales à 30 kmh.
J’ai dépassé pas mal de vélos course, vent de dos, à leur grand dam. Au retour du 2eme run, je suis accompagné par un cycliste sexagénaire très sympa !
On roule ensemble de Hagondange à La Maxe, moi devant, lui dans mon aspi, vent de face.
Quand la largeur de la piste le permet on se met côte à côte, et on discute un peu : on râle contre le vent !
Toujours au retour de ce 2eme run, entre Argancy et La Maxe, je croise un roller que je vois souvent, il est en 4x110, mais patine debout, sans technique.
10 minutes plus tard, je fais mon demi-tour à ma voiture pour mon 3eme et dernier run. Vent de dos, fatigue, mais bonne motivation.
Je rattrape et dépasse le 4x110, avec un gros différentiel, dans la ligne droite de Talange, en face de Marques Avenue.
Je termine tout ça à la nuit tombante, dans un calme absolu, les lapins ont commencé leurs sorties nocturnes.
Je suis bien cuit, mon dos m’a un peu fait mal vers la fin, mais aucun regret : ce week-end de Pâques s’annonce pluvieux.
En effet, tôt le dimanche matin, c’est bourrasques et averses.
Bu environ 2,05 litres de boisson isotonique. Mangé quelques tartines au miel et quelques figues sèches.
Détail des moyennes :
Run 1 :
Aller : de 13h32 à 14h23’30, soit 51’30 pour 23,88 km, soit 27,82 kmh
Retour : de 14h23’30 à 15h27, soit 1h03’30 pour 23,88 km, soit 22,56 kmh
Moyenne du Run 1 : 1h55 pour 47,76 km, soit 24,91 kmh
1 min. de pause ravito à ma voiture.
Run 2 :
Aller : de 15h28 à 16h17, soit 49’ pour 23,88 km, soit 29,24 kmh
Retour : de 16h17 à 17h22, soit 1h05 pour 23,88 km, soit 22,04 kmh
Moyenne du Run 2 : 1h54 pour 47,76 km, soit 25,13 kmh
1 min. de pause ravito à ma voiture.
Run 3 :
Aller : de 17h23 à 18h17, soit 54’ pour 22,38 km, soit 26,53 kmh
Retour : de 18h17 à 19h21’30, soit 1h04’30 pour 23,88 km, soit 22,21 kmh
Moyenne du Run 3 : 1h58’30 pour 47,76 km, soit 24,18 kmh
Moyenne de tous les runs :
3 runs enchainés de 47,76 km, soit 3 x 47,76 = 143,28 km, de 13h32 à 19h21’30, soit 5h49’30, soit 24,59 kmh
Repos Dimanche et Lundi.

gui_gui a écrit :Avis aux vitesseux du coin, s’il y en a ?

Salut gui_gui,
tu n'as pas essayé de te rapprocher des NRV de Nancy pour te programmer quelques sorties ?
http://nancy-roller-vitesse.fr
https://www.facebook.com/NancyRollerVitesse

En épluchant les résultats de Salbris, je vois Victor Peyre qui tourne à 30km/h de moyenne. Ça cause.
Nancy-Metz, c'est vite fait (ex nancéien inside )