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Posté : 26 mars 2009 21:56
par cofi
hop hop hop
arretez de me suivre sinon j'accelere pour vous faire peter lollll
loreng pose lui aussi une bonne question
mais je pense que la reponse est assez simple
on fait du roller de vitesse par passion pas pour devenir celebre sinon je pense que tres jeune les champions iraient voir ailleur pour avoir plsu de reconnaissance
donc une fois que qu'ils sont champions dans le sport qui les passionne je ne vois pas pourquoi ils iraient voir ailleur
je pense aussi que nos champions font du velo de la course a pied (a l'entrainement) et que si cela leur apporté plus de plaisir que le roller ils en auraient fait leur sport
et sincerement moi qui ai refait du velo dernierement a cause de mon genoux et qui continu pour pouvoir palier les anchainements d'entrainement je trouve que le roller de vitesse est bien plus sympa que le velo et pourtant j'en ai fais 10 du cyclisme.....donc j'ai bouffé pas mal de km le cul sur la selle lolll
Posté : 26 mars 2009 22:13
par valino
peut être tout simplement le roller est nettement plus jouissif !! en général la carrière si elle se poursuit va plutôt en direction de la glace, un autre univers de glisse ...
oups, j'avais sauté la page et pas vu la dernière réplique de cofi .. c'est de la redite, 'scusez ...
Posté : 27 mars 2009 20:46
par phl en 4*104
slt
si je peu donner mon avis perso entre le velo et le roller
je prefere le velo au roller hors compet. bien sur
donc je pratique le velo pendant la periode hivers printemp et le roller en ete ,mais je ne fait plus de course (plus du tout motivé)
donc velo avec des distances entre 50 et 200km par sorties
je trouve que çe genre d'entrainement me donne plus de physique que de ne faire que du roller (avec des fractionné et tout le reste )
neanmoin je n'oublie pas la technique .
mon but ,me faire plaisir avec mes collegues du roller qui ne font que ça .

Posté : 27 mars 2009 21:39
par JR
bon, c'est des avis perso tout ça.
le fait surtout que ces deux sports se complementent et que les gars qui les pratiques s'y retrouvent à tout point de vue, c'est principalement qu'ils font marcher quasiment les memes muscles. à quelqu'uns pret.
tous les muscles des cuisses et des jambes, les fessiers (surtout pour le roller) et les dorssaux . vous allez me dire que le roller solicite bcp plus les dorssaux, éffectivement peut-etre un peu plus de part la position constante couché.
mais quand en vélo vous travaillé bien assis sur votre selle et que vous enmenez un bon braquet,je peux vous dire que les dorssaux sont énormément solicités.
et c'est aussi deux sports ou les bras ne servent qu'a équilibrer ou aider d'un point de vue symétrique.(le roller). donc ils ne travaillent presque pas.
ça fait pas mal de points communs. et si on arrive pas à briller aussi vite en vélo qu'en roller, c'est parce-que le nombre de licencié en vélo est 100 fois plus élevé et qu'il y a 100 fois plus de courses, etc...
Posté : 27 mars 2009 23:10
par LorenG
JR a écrit : et si on arrive pas à briller aussi vite en vélo qu'en roller, c'est parce-que le nombre de licencié en vélo est 100 fois plus élevé et qu'il y a 100 fois plus de courses, etc...
... et que par conséquent, (sans vouloir vexer personne) le niveau général des cyclistes est peut-être plus élevé que celui des patineurs...???
Posté : 27 mars 2009 23:41
par Thibaut
LorenG a écrit :
... et que par conséquent, (sans vouloir vexer personne) le niveau général des cyclistes est peut-être plus élevé que celui des patineurs...???
Et il doit y avoir encore plus de licenciés en foot... et cela doit donc être encore plus long de monter les échelons... et par conséquent le niveau général des footballeurs est peut-être plus élevé que celui des cyclistes ?
J'ai du mal à comprendre ces comparaisons. Certes, un ultrafondeur de haut niveau doit avoir plus d'endurance qu'un cycliste de haut niveau, mais moins d'explosivité qu'un coureur de 100 m, lequel est plus véloce qu'un patineur, mais n'a sûrement pas la même technique de patinage...
Pour en revenir à la question du 24h roller en solo, je suis d'accord avec Rphil et Valino. Exprimer toute son endurance en roller demande beaucoup de technique et d'adaptations physiologiques. Le temps de les développer pour un "extérieur", c'est autant de temps passé en moins à travailler son endurance. Notre sport allie plusieurs dimensions (technique, peloton, endurance), il est donc plus difficile d'être au top sur l'ensemble d'elles.
Mais il est sûr que le jour où un élite qui a vraiment la technique et qui décide de se préparer physiquement à ce type d'épreuves au détriment des courses traditionnelles et des marathons, il a de bonnes chances d'améliorer nettement les perfs actuelles.
Posté : 28 mars 2009 1:50
par Surfing
LorenG a écrit :JR a écrit : et si on arrive pas à briller aussi vite en vélo qu'en roller, c'est parce-que le nombre de licencié en vélo est 100 fois plus élevé et qu'il y a 100 fois plus de courses, etc...
... et que par conséquent, (sans vouloir vexer personne) le niveau général des cyclistes est peut-être plus élevé que celui des patineurs...???
Là c'est l'infirmerie qui se moque de l'hôpital
Le cyclisme est aussi un petit sport avec ses 110.000 licenciés toutes disciplines confondus, plus proche du roller (50.000) que des grands sports (foot plus de 2 millions, tennis 1 million, basket, équitation, judo 500.000). Parmi seulement les fédérations olympiques le cyclisme n'est que 15 ème.
Même en ajoutant les 120.000 cyclotouristes (tout comme il y a nos randonneurs dans les 50.000 du roller), avec 230.000 au total c'est le niveau de la randonnée pédestre, encore bien loin du golf ou de la pétanque (un peu moins de 400.000), pour comparer en tenant compte de l'aspect cyclo-tourisme.
Le cyclisme français n'est impressionnant ni par son niveau international ni par son nombre de licenciés, en tout cas ce n'est pas de ce côté qu'on cherchera un exemple de développement intéressant.
Posté : 28 mars 2009 7:29
par ratus
Surfing a écrit :
Là c'est l'infirmerie qui se moque de l'hôpital
encore bien loin de la pétanque (un peu moins de 400.000),
A quand la pétanque à roller?
Posté : 28 mars 2009 9:11
par Hub
ratus a écrit :A quand la pétanque à roller?
Régis est demandé au parloir, Régiiiiiis!

Posté : 28 mars 2009 9:23
par LorenG
Surfing a écrit :LorenG a écrit :JR a écrit : et si on arrive pas à briller aussi vite en vélo qu'en roller, c'est parce-que le nombre de licencié en vélo est 100 fois plus élevé et qu'il y a 100 fois plus de courses, etc...
... et que par conséquent, (sans vouloir vexer personne) le niveau général des cyclistes est peut-être plus élevé que celui des patineurs...???
Là c'est l'infirmerie qui se moque de l'hôpital
quote]
Te fâche pas Surfing, je me suis peut-être mal expliqué ( et puis, je n'ai pas d'affection particulière pour le vélo, mon coeur est acquis au roller...)
Je dis simplement en comparant ( maladroitement, je te l'accorde), deux sports d'endurance, que le niveau général d'une discipline est influencé par le nombre de pratiquants.
En partant de là, je continue à penser qu'une grosse cylindrée en vélo ( et des grosses cylindrées anonymes, ça court les pelotons, pas besoin d'aller chercher un pro ) qui se penche sérieusement sur un 24h au Mans, a de bonnes chances de réaliser une grosse perf.
En ce qui concerne les stars du foot ou de la pétanque ( bonjour chez eux !), je reste plus réservé...
" Mais cela n'est que mon opinion, que je partage à fond, et c'est déjà pas mal !"
Je continue aussi à penser qu'il ne faut pas sous-estimer les ultras-fondeurs qui pratiquent d'autres disciplines et qu'on a de bonnes chances de progresser en s'inspirant de leur expérience.
Quant aux coureurs de 100m dont parle Thibault, j'avoue que je n'ai pas d'avis sur la question, par contre, je suis à 100% d'accord avec lui quand il parle de ce que pourrait faire un élite aux 24h solo. Mais peut-on concilier une pratique élite sérieuse avec les exigences d'un 24h... ou vaut-il mieux attendre la retraite ???
Posté : 28 mars 2009 10:12
par Rphil
LorenG a écrit :
Te fâche pas Surfing, je me suis peut-être mal expliqué ( et puis, je n'ai pas d'affection particulière pour le vélo, mon coeur est acquis au roller...) .../...
.../... je continue à penser qu'une grosse cylindrée en vélo ( et des grosses cylindrées anonymes, ça court les pelotons, pas besoin d'aller chercher un pro ) qui se penche sérieusement sur un 24h au Mans, a de bonnes chances de réaliser une grosse perf.
Surfing (Michel) bien connu dans le milieu du roller, n'est pas du genre à se fâcher, en tous cas, pas pour rien ni sans raison je pense, renseigne toi sur les forumeurs.
Pour la/les grosses cylindrées dont tu parles, pas de pb qu'elles viennent dans le roller y apporter leur contribution, faire avancer la machine, bousculer les idées reçues... et pourquoi pas fait péter des records, etc.
Je suis ancien/actuel cycliste, tri-bi athlète, coureur à pied, et je dois mon endurance à roller actuelle, à ces disciplines pratiquées, j'ai mis un bon moment à chercher et trouver certaines solutions pour aller citius-altius-fortius dans l'ultra, recherches personnelles et expérimentations sur soi-même indispensables...erreurs inévitables donc!
Avec Thibaut on a compris très tot, la necessité de transposer dans le roller (ultra-distances en particulier), l'apport de ces disciplines, pour preuve notre collaboration à travers 4 pages dans le magazine 'UltraFondus' (UFO) sorti en kiosque fin octobre dernier.
Comme je le souligne, on ne peut d'un seul coup devenir un spécialiste, il faut travailler des années, sinon les performances n'auraient aucune valeur.
Pour ma part je pense encore que mon plus grand 'exploit' d'ultra-fondeur, reste une marche commando, avec mes copains de régiment' répartie sur 24 heures, en juin, dans le massif de l'Esterel écrasé par la chaleur provencale, en autosuffisance liquides et solides+simulation combat de nuit, pendant mon service militaire à 21 ans, je savais que c'était mon truc ça! je le prouve maintenant, et je m'éclate, et suis je une grosse cylindrée pour autant ? NON !
Le roller est malgré tout un sport élitiste où la technique est prépondérante, tu peux d'après moi coller une paires de 4X100 montants de 1500/1800 grammes à un quidam déjà rompu aux efforts en solo extrème, mais il n'ira pas aussi loin que celui qui aura mis X années à souffrir dans des chaussons bas pour la même épreuve.
Il ne restera à notre homme 'chaussé d'enclumes' que des 'si' à lui et à son entourage, pour écrire et dire:
'quel champion ça ferait à roller' 
Tout ceci pour souligner que VELO et ROLLER sont indissociables pour progresser en endurance.
Posté : 28 mars 2009 10:30
par Prosper
LorenG a écrit :
Je dis simplement en comparant ( maladroitement, je te l'accorde), deux sports d'endurance, que le niveau général d'une discipline est influencé par le nombre de pratiquants.
Et bien justement c'est ce que j'ai longtemps pensé, et c'est le raisonnement de certaines fédérations qui veulent absolument élargir leur base pour ne rater aucun talent, mais concernant les sports d'endurance mon opinion a évolué.
Ce sont des activités assez ingrates, peu techniques (course à pied/vélo) dans lesquelles ne brilleront vraiment que ceux qui sont très doués (VO2 max supérieur à 80ml/min/kg en course à pied par exemple).
Par un mécanisme assez étrange, ceux qui sont les plus doués s'y retrouvent assez naturellement parce que dès le plus jeune age ils se valorisent dans ces activités. bizarrement on passe rarement à côté d'une perle, même s'il commence sur le tard (voir Yoann Dinniz en marche athlétique).
Et contrairement à toi je ne classe pas le roller dans les sports d'endurance. C'est un sport de vitesse où il faut aussi de l'endurance (plus ou moins selon la spécialité).
C'est avant tout la technique qui est le facteur limitant, y compris sur marathon ou on voit clairement des patineurs issus du moule traditionnel mais n'ayant pas une super caisse surclasser des bonnes grosses cylindrées à la technique limitée.
Le cas des épreuves d'ultra endurance est encore très nouveau en roller, un peu comme le 100km à pied dans les années 80/90. Peu de gens s'y lançaient vraiment, les pionniers étaient des coureurs de second ordre ayant atteint leurs limites sur marathon.
LorenG a écrit :
et des grosses cylindrées anonymes, ça court les pelotons, pas besoin d'aller chercher un pro
Justement non, si tu es vraiment une grosse cylindrée tu ne restes pas anonyme longtemps...
Contrairement à ce que tu sembles penser le niveau en vélo n'est pas si élevé qu'on le pense. Je connais pas mal de copains coureurs à pied (de bon niveau certes) qui ont fait des expériences en vélo ou en duathlon avec des résultats rapides et assez surprenants.
LorenG a écrit :
Je continue aussi à penser qu'il ne faut pas sous-estimer les ultras-fondeurs qui pratiquent d'autres disciplines et qu'on a de bonnes chances de progresser en s'inspirant de leur expérience.
Je crois que Rphil est exactement dans cette attitude ouverte vis à vis des spécialistes d'ultra (même s'il ne donne pas toujours cette impression dans ses propos).
Le profil idéal pour ce genre de défi se serait un athlète dans la force de l'age ayant pratiqué le roller sérieusement pendant quelques années de jeunesse, qui soit ensuite parti dans une discipline d'endurance pendant une dizaine d'année avec des résultats costauds et qui rechausse les patins pour associer ses deux compétences dans un 24h....
Posté : 28 mars 2009 11:54
par LorenG
Salut Prosper,
Je n'ai pas votre expérience roller, ni à Rphil, ni à toi, je ne discuterai donc pas la majorité de vos conclusions, vous avez certainement raison.
Je me contenterai juste d'un constat à partir d'un exemple simple :
sur le triathlon d'Embrun ( natation 3,8km, vélo 190km, càp 42km), avec une grosse préparation et quelques années de pratique, je termine 123ème, au taquet. et je ne ferai jamais mieux...(sic)
Au Mans, avec ma petite cylindrée, des conditions météo pas top, des patins de fitness et 15 mois de roller dans les jambes, je boucle 104 tours ( d'accord Rphil, c'est loin d'être une perf...)
Je continue donc à croire que dans le tas de ceux qui me précèdent à Embrun ( ou ailleurs, c'est toujours un exemple), il y a un paquet de gars qui sont capables d'améliorer très largement mon score et de titiller les meilleures perfs, juste sur le physique !
( Même avec une enclume à chaque pied

)
Posté : 28 mars 2009 14:32
par valino
de ton cas personnel, il est difficile de faire des extrapolations à des tri classés dans le top 50 d'Iron Man .. enfin ta position a le mérite claire pour tout le monde

, attendons maintenant les prochains rdv de 24h pour reprendre cette discussion s'il y a lieu
Posté : 28 mars 2009 14:35
par Prosper
LorenG a écrit :
Au Mans, avec ma petite cylindrée, des conditions météo pas top, des patins de fitness et 15 mois de roller dans les jambes, je boucle 104 tours ( d'accord Rphil, c'est loin d'être une perf...)
Je continue donc à croire que dans le tas de ceux qui me précèdent à Embrun (...), il y a un paquet de gars qui sont capables d'améliorer très largement mon score et de titiller les meilleures perfs, juste sur le physique !
L'ultra endurance en roller est une mauvaise comparaison parce que c'est une discipline très récente. Nous n'avons que quelques années de recul.
Disons que le premier gros coup avec préparation bien réfléchie fût celui de Pascal Fernandez au Mans en 2005. Et le facteur 24h du Mans solo a aiguisé les appétits, suscité des vocations chez des athlètes qui avant n'y pensaient pas...
Retourne voir les classements des premiers Ironman dans les années 70 et tu vas sans doute rigoler...
Donc c'est vrai que dans l'état actuel de l'ultra endurance roller ce que tu dis est possible, un costaud avec peu de technique peut briller. Cependant pour établir un record mondial par exemple il faut déjà un peu plus qu'un gros physique.
Attendons quelques années encore pour espérer une évolution vers le haut. Sans aucune certitude de ce point de vue parce que cela va dépendre de l'évolution générale de la discipline Roller. Diversification des distances et épreuves de plus ou moins longue distance etc, on voit déjà que le double marathon n'a pas survécu. Et je ne vois pas émerger d'épreuves intermédiaires entre le marathon et les 6h/12h/24h qui puisse permettre une transition progressive des patineurs très rapides orientés Piste/Marathon vers les épreuves d'ultra....
Pour le moment la majorité des patineurs d'ultra ont des profils comme toi ou comme Rphil, spécialistes de d'endurance venus sur le tard (mais un peu tard) au roller.
Posté : 28 mars 2009 21:46
par JR
je suis pas d'accord avec toi prosper sur le sujet des "grosses cylindées"en vélo.
tu peux etre une énorme cylindrée en vélo et ne pas gagner une course de l'année , pourquoi :
en vélo, c'est rarement le plus fort qui gagne, à cela plusieurs cause :
-les arrivées au sprint ( faut frotter, etre véloce et puissant, ne pas avoir peur,etc...)
-les courses d'équipe ou à plusieurs du meme club
-les échappées qui partent de loin et que tu rates
-les "mafias"( hé oui mesieurs, ça existe et dans les pelotons de 2 et 1ere caté région ou autres, les "maf" elles rafflent presque tout !) sauf les courses nationnales ou à étapes
etc...
Posté : 28 mars 2009 23:11
par Prosper
JR a écrit :
-les "mafias"( hé oui mesieurs, ça existe et dans les pelotons de 2 et 1ere caté région ou autres, les "maf" elles rafflent presque tout !) sauf les courses nationnales ou à étapes
Je parle de grosses cylindrées et tu me réponds niveau régional.
Sans vouloir vexer personne je crois nous ne parlons pas de la même chose.
Posté : 29 mars 2009 8:04
par JR
des grosses cylindrées, il y en a partout, meme en régional. seulement, les gens n'ont pas tous les memes ambitions en sport !
de toute façon, meme chez les pros c'est pareil, c'est le plus malin et le plus "économe" qui arrive au bout devant (sauf pour un clm), pas forcément le plus fort.
si c'est bien de ça dont tu parles ? parce que j'arrive pas tout à comprendre, tu parles de tes potes qui ont fait des experiences en vélo et duathlon avec des résultats surprenants . oui, mais dans quel niveau, quel catégorie ? en uffolep ou en ffc ? c'est forcément en régional puisque pour accéder à la 1er caté, il faut forcément passer par les autres en dessous.
Posté : 29 mars 2009 9:46
par Rphil
L'Ufolep est une fédé à mi-chemin entre la Vraie fédé (FFC FFA FFTRI etc) et le sport loisir, par conséquent pas significatif, soyons sérieux.
Prosper (2ème d'un championnat de France 3000 steeple en 1996) a déjà cotoyé le haut niveau, il sait de quoi il parle.
Par le terme de 'grosse cylindrée' vous vous égarez peut-être.
La valeur de 80ml/mn/kg n'est pas si exceptionnelle, même sans EPO, les champions sont bien au-delà (ex Hinault 93/96 et Lemond autant, et bien avant l'ère EPO).
Sur piste avec la méthode indirecte des plots, on m'a trouvé à près de 40 ans plus de 70ml/mn/kg à une période où je courais en duathlon (1 titre régional, mais jamais été en équipe de France par exemple). Je n'étais pas vraiment surpris car à l'armée, en gagnant des cross de masse, j'avais etonné les médecins avec près de 3800 mètres au Cooper au pied levé, et en soufflant dans le spiromètre...plus de 6 litres etc, ils me demandaient pourquoi je n'étais pas au BJ...je leur répondait: pas assez doué!
A combien pouvait être ma VO2 max à 25 ans, je m'en fiche...
Maintenant très expérimenté, et des tas de paramètres que je maitrise dans les courses d'endurance, si mon message pouvait motiver des patineurs pour entamer un recyclage sur l'ultra, ce serait super.
Mais votre terme de grosse cylindrée me fait doucement rigoler, sur les courses d'ultra le mental est la qualité primordiale, le reste n'est qu'accessoire, ce n'est plus le même sport.
Posté : 29 mars 2009 10:11
par youb solo
Rphil a écrit :Mais votre terme de grosse cylindrée me fait doucement rigoler, sur les courses d'ultra le mental est la qualité primordiale, le reste n'est qu'accessoire, ce n'est plus le même sport.
entierement d accord
le plus difficile est de programmer le mental avec le physique et vis et versa
cela fera ma 5eme participation a un 24 heures oofficiel en solo
je compte pas tous les raids que j ai fais en dehors de ces épreuves
j'entame ma deuxieme partie de ma vie et ce n'est que maintenant que je comprends ce que veux dire ultra endurant