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Je n'ai jamais fait les 24 h, mais à mon avis, la météo fait partie du jeu.
On a plus de chances de rencontrer la canicule qu'un temps pourri fin Juin. Quand il fait très chaud et qu'on a la prétention d'endurer une telle épreuve, on réduit un peu les gaz et on met régulièrement de l'eau dans le radiateur...

De plus la chaleur le jour permet de bien dormir sous sa tente ou en exterieur à l'arriere des padocks (eh oui on arrive tellement on est fatigué)
Beaucoup regrette la chaleur de ce dimanche ça aurait pu être pire quand on voit les température de lundi et mardi....
De plus je n'ai pas connaissance d'une édition récente sous la pluie.Certes ce fut ma 1° mais les photos des derniéres éditions me laissent penser à une météo très cémente,à l'image de ce week end.

Près de Marseille, on ne ferait presque jamais de sport si on tenait compte de la chaleur.
On pratique une activité aussi proche de la nature que possible, malgré le besoin d'alsphate. Et le soleil fait partie de la nature...

Et pourquoi pas en décembre???? à priori, on aurait pas trop chaud...
Ne rigolez pas....Savez vous qu'entre 1910 et 1914, une course de 24 heures, nommée "la course du patin d'or" se déroulait EN DECEMBRE à PARIS.
Le réglement obligeait de se ravitailler en roulant (arrêts interdits).J'ose à peine imaginer la qualité de la piste et des patins.
En 1910,le canadien Jesse Carey réalisa 459 kilmètres, et en 1911 le français Nicod réalisa 468 kilomètres .
A part Rphil et quelques autres, je trouve que l'on est tous bien "petits " à côté de ces gars là....et que renâcler sur une météo un peu chaude, qui complique un peu les choses certes,, c'est des jérémiades d'enfants gâtés.
Le loisir "de plein air " a ses inconvénients, si on ne veut pas les assumer, i y a des tas de sports en salle....
Ce n'est que mon humble avis
TOUTOUSEUL

je n'aurais qu'une chose a dire :


wouaf !!!

TOUTOUSEUL a écrit :Et pourquoi pas en décembre???? à priori, on aurait pas trop chaud...
Ne rigolez pas....Savez vous qu'entre 1910 et 1914, une course de 24 heures, nommée "la course du patin d'or" se déroulait EN DECEMBRE à PARIS.
Le réglement obligeait de se ravitailler en roulant (arrêts interdits).J'ose à peine imaginer la qualité de la piste et des patins.
En 1910,le canadien Jesse Carey réalisa 459 kilmètres, et en 1911 le français Nicod réalisa 468 kilomètres .
A part Rphil et quelques autres, je trouve que l'on est tous bien "petits " à côté de ces gars là....et que renâcler sur une météo un peu chaude, qui complique un peu les choses certes,, c'est des jérémiades d'enfants gâtés.
Le loisir "de plein air " a ses inconvénients, si on ne veut pas les assumer, i y a des tas de sports en salle....
Ce n'est que mon humble avis
TOUTOUSEUL

Je suis entièrement d'accord avec toi, la chaleur fait partie du jeu.
Moi il est dit, que je ne supporte les grosses chaleurs lorsque je patine...

Il faut que je trouve la force nécessaire pour contourner ce problème

Il y aurait une solution, on déplace le Mans vers le cercle polaire.
- il ferait jour non-stop pendant les 24 h (good pour l'état de veille)
- la température serait plus clémente sous ces latitudes septentrionales

Heu… on me souffle que le circuit Bugatti n'est pas transportable !
Bon alors on modifie juste un peu l'axe de la Terre, en plaçant le pôle Nord en région Parisienne, ça devrait le faire

J'ai répondu "Oui, à 40°C ce n'est plus du sport", je ne supporte pas du tout la chaleur.

Avant, c'est peut-être difficile de l'organiser vis à vis aussi du planning des clubs de rollers et puis, en dehors 24 H voitures et puis motos, il y a certainement d'autres choses, après, les vacances, etc...

Ce serait pas mal en septembre.

Chaque année il y a un nouveau sujet sur le Mans, Cette année la chaleur, l'an derneir c'était ralonger le circuit pour monter le moins possible la Dunlop (pour info, cette année j'ai plus souffert dans la déscente à luter contre le vent que dans la montée), l'an prochain que sera le nouveau sujet? .

Chaque periode de l'année a ses problèmes et il y aurait toujours du monde pour râler :

Fin juin trop chaud,
Début septembre, c'est le retour des vacances (pas le temps de s'entraîner à cause de la plage)
Fin septembre début du froid,
A une autre periode de l'année, ce n'est pas compatible avec le planning course des Elites,
L'hiver, il fait trop froid,
... etc ...

Quand je voie les vacanciers (Belges, nordistes, etc... (souvent rondouillards)) monter le Ventoux en plein milieu de la journée sous un soleil de plomb (au lieu de partir tôt le matin), ils ne font pas tant de chi-chi.

C'est passkisont pas Français!

J'ai souvent (heu non, pas souvent. toujours.) annulé mes randos pour cause de pluie, jamais pour cause de chaleur.
Je suis toujours très admiratif en voyant des courses et parfois même des sessions de free ride qui ont lieu sur terrain détrempé. Je me souviens d'une video où on voyait les compétiteurs en train de patiner sous des trombes de flotte. Imaginez les 24 h sous une grosse pluie et les viandages dans le virage en bas de la descente de la dunlop, la fatigue d'être trempé la nuit, bref…
Ce serait le jeu, et ce serait dur, surtout pour ceux qui ne roulent pas sous la pluie, qui n'ont que des roues savonnettes, pas assez de technique…
mais je maintiens que ce serait le jeu

Il est clair qu'à choisir entre la pluie et la chaleur, je prend de suite le 2éme!

Si la date est changer, il y aura toujours des mécontent dans le lot (autre courses,exam, vacance....)

sylvain29 a écrit :Si la date est changer, il y aura toujours des mécontent dans le lot (autre courses,exam, vacance....)

vu aussi: kermesse de l'école du petit dernier t'as oublié ...croustillantes excuses...c'est bien français (franco-français).

Et il faut préciser que la chaleur est surtout un problème pour les solo et duo.
Les autres ne passent pas assez de temps sur la piste (sauf stratégie étrange) pour souffrir de la chaleur. il suffit de se mettre à l'ombre et de s'hydrater en rentrant au stand).

gui_gui a écrit :J'ai souvent (heu non, pas souvent. toujours.) annulé mes randos pour cause de pluie, jamais pour cause de chaleur.
Je suis toujours très admiratif en voyant des courses et parfois même des sessions de free ride qui ont lieu sur terrain détrempé. Je me souviens d'une video où on voyait les compétiteurs en train de patiner sous des trombes de flotte. Imaginez les 24 h sous une grosse pluie et les viandages dans le virage en bas de la descente de la dunlop, la fatigue d'être trempé la nuit, bref…
Ce serait le jeu, et ce serait dur, surtout pour ceux qui ne roulent pas sous la pluie, qui n'ont que des roues savonnettes, pas assez de technique…
mais je maintiens que ce serait le jeu

En 2007, on a eu 3 gouttes qui ont mouillée la piste une heure ou deux. En matter jaune 86A bien vernis (toutes neuves), j'ai eu beau pousser sur le talon pour essayer de chasser de l'arrière dans la descente, je suis tout de même resté scotché.
Donc à part avec des traces d'hydrocarbures, je ne vois pas comment on pourrait avoir besoin de patiner autrement que comme sur du sec.

A choisir, je préfère la pluie à la forte chaleur, seul défaut, la chaleur s'arrête durant la nuit, la pluie pas obligatoirement. Par contre, coté stand je préfère la chaleur à la pluie. Comment ça, l'est compliqué le garçon ?

Si c'est nuageux, il y a trop de vent !?!
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LiTTleL a écrit :Donc à part avec des traces d'hydrocarbures, je ne vois pas comment on pourrait avoir besoin de patiner autrement que comme sur du sec.

On fait quand même des foulées moins longues, non ? Et du coup on patine un peu plus en fréquence. Ou c'est moi qui m'y prend mal ?

Sinon pour les préférences météo je suis nettement moins compliqué que toi : sec, tempéré (20° à l'ombre) et pas un souffle de vent. C'est pourtant simple