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donc apres mon test d'aujourd'hui... il a ete impossible a reproduire de l'asthme apres un effort.
le spyro est clair, pas de soucis. mon volume d'oxygene est entre 104 a 107% du volume standard pour quelqu'un de mon age (34 ans)... et ceci en etant malade.. donc a priori ce n'est pas de l'asthme.
a moins que cela ne soit lie a une allergie car a priori c'est vers quoi on s'oriente.. (
par contre les medecins m'ont dit que l'aspiration d'air froid dans mes poumons pourrait etre aussi a l'origine de "mon asthme" (tout du moins generer les memes symptomes)..
y-a-t-il quelqu'un parmi vous qui aurait des symptomes similaires,
ressemblant a de l'asthme lors d'une periode de froid ?
Autre question hors sujet : mon cardio est alle a 170 pulsations lors d'un effort de 200 watts... est-ce normal, faible ou bon ?
existe-t-il une moyenne a laquelle je pourrais me comparer afin de comprendre ce que cela signifie en termes de condition physique ?
merci
donc apres mon test d'aujourd'hui... il a ete impossible a reproduire de l'asthme apres un effort.
le spyro est clair, pas de soucis. mon volume d'oxygene est entre 104 a 107% du volume standard pour quelqu'un de mon age (34 ans)... et ceci en etant malade.. donc a priori ce n'est pas de l'asthme.
a moins que cela ne soit lie a une allergie car a priori c'est vers quoi on s'oriente.. (
par contre les medecins m'ont dit que l'aspiration d'air froid dans mes poumons pourrait etre aussi a l'origine de "mon asthme" (tout du moins generer les memes symptomes)..
y-a-t-il quelqu'un parmi vous qui aurait des symptomes similaires,
ressemblant a de l'asthme lors d'une periode de froid ?
Autre question hors sujet : mon cardio est alle a 170 pulsations lors d'un effort de 200 watts... est-ce normal, faible ou bon ?
existe-t-il une moyenne a laquelle je pourrais me comparer afin de comprendre ce que cela signifie en termes de condition physique ?
merci
en effet avec un volmmue expiratoire tel tu n'es pas asthmatique, c'est biologiquement impossible.
Ton problème avec le froid existe pour une frange non négligeable de la population. En général il est lié à une respiration essentiellement par voie buccale alors que lm'inspiration nasale permet biologiquement et physiquement parlant ede palier à ce pb.
En effet si tu inspire par la bouche, l'air froid inspiré n'est pas réchauffé suffisamment par le circuit des voies aéruiennes sup et donc arrive encore trop froid dans les alvéoles pulmonaires. Ceci entrainant une broncho-constriction limitant les apport nécessaire à l'effort sportif.
respire plus par le nez qand tu t'entraines l'hivers et/ou trouve toi un masque efficace qui te permet de respirer à plein poumon sans refroidir trop ces derniers.
Carpe ridiem, l'usure de ta roue est ta force, Dunlop rime avec sale hop
Mon expérience diffère un peu de celles mentionnées ici et je commence un traitement de fond.
Je n'avais jamais fait d'asthme, d'effort ou non, mais j'ai toujours été très allergique. Cela a commencé cette année au marathon de Londres. Au milieu de la course, après un effort violent (FC > 94 % pendant près de 30 minutes), mes poumons ont commencé à siffler et ma ventilation à accélérer. J'avais beau ralentir, je respirais de plus en plus vite. C'est passé à force de relâcher l'effort.
Peu après, même chose à Pontarlier. Là, même en arrêtant de patiner quelques instants et en regagnant tranquillement la ligne d'arrivée, la crise ne s'est pas arrêtée. Il a fallut attendre la ventoline à l'arrivée. Sur la course, mon cardio a enregistré 91,5 % de moyenne sur une heure.
L'explication serait la suivante : j'ai toujours été allergique et potentiellement sujet à l'asthme d'effort, mais je n'en avais jamais eu auparavant car je n'étais jusque là pas capable de maintenir un effort de plus de 90% de moyenne sur une heure.
Contrairement à d'autres témoignages, c'est bien la pratique intensive du sport qui m'a donné les moyens d'atteindre le seuil d'effort auquel la crise se déclenche. Seuil que je ne suis d'ailleurs pas capable d'atteindre hors conditions de course.
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