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Posté : 30 juin 2011 13:02
par krill
gui_gui a écrit :Quand je vois comment les solos sont coachés au Mans, je me dis que la comparaison avec ce que je fais est un peu hasardeuse:
En effet, bien coaché, un solo au Mans n'a plus rien d'autre à faire que de patiner en gardant le rythme le plus régulier possible.
....
Donc voilà, moi je suis solo sur mes randos, mais vraiment très très solo !…
Tout à fait d'accord avec toi. Plusieurs fois j'ai déjà voulu faire la remarque quand je lisais des "solos" se vanter...

Ca n'a plus grand chose à voir avec le solo. Le "solo" maintenant a des coachs, sans parler du drafting avec les autres patineurs, etc...
A croire qu'ils ont oublié la vraie définition du solo: être seul.

Posté : 30 juin 2011 13:38
par gui_gui
La prouesse sportive des solos au Mans est indiscutable, mais il y a un travail d'équipe pour rendre possible de tels records.
Pour ma part ce que je fais s'apparente à du raid, du "speed-raid", pourrait-on dire, même si je suis sur des formats inférieurs à 1 journée, car je porte mon barda sur mon dos…

Posté : 30 juin 2011 14:05
par XSFred
J'ai été plusieurs fois l'assisteur de solos, au Mans et ailleurs.
Tout d'abord les 500 bornes c'est bien le patineur qui les fait, pas l'assisteur. Quand je lis qu'il "n'a plus qu'à patiner" : ouais, bien sûr. Comme Sir Edmond Hillary qui "n'avait plus qu'à monter" l'Everest parce qu'il avait un camp de base.
La plupart des solos que je connais se sentent mieux sans assistance ; ils sont non seulement autonomes, mais plutôt indépendants d'esprit - ils ne se décident à accepter un assisteur dans leur tentative que du bout des lèvres. La plupart ont commencé sans la moindre assistance ; la plupart sont des taiseux auxquels il est exclu d'arracher plus de deux phrases sur eux-mêmes. L'assisteur est une irruption dans un paysage personnel, un mal nécessaire. Peut-être qu'il contribue à faire 135 tours au lieu de 132, dans le meilleur des cas, mais je n'en jurerais pas.
Même si ce sont un peu les mêmes qui font les deux, l'exercice est différent. En raid tu te mesures à toi-même hors du regard des autres, avec une marge de sécurité parce qu'il faut bien rentrer, aux 24 heures tu te mesures aux autres avec à mon humble avis une marge de sécurité bien plus faible - et en public.
En raid personne ne t'applaudit ; si tu te loupes, tu es tout seul dans la merde ; plus aride que ça tu meurs. Les 24 heures sont un environnement tout-à-fait artificiel dans lequel la vraie nature de chacun se révèle en totalité. Vouloir comparer les deux me paraît délicat.

Posté : 30 juin 2011 14:42
par gui_gui
Enfin, par "il n'a plus qu'à patiner", je veux dire que le rôle des coaches est d'ôter au solo le maximum de contraintes, comme, par exemple, porter de grosses quantités de matos sur le dos et devoir s'arrêter souvent pour faire des petits mélanges isotoniques. C'est en voyant des photos de patineurs aux mains "libres" et sans sac à dos que ça m'a sauté aux yeux. Plutôt que "il n'a plus qu à patiner", qui peut paraître trop réducteur, j'aurais dû employer l'expression "il peut enfin se concentrer sur son patinage et ne pas avoir le souci de savoir si il aura assez de flotte ou non pour atteindre telle ville".

Posté : 30 juin 2011 16:03
par XSFred
C'est bien ce que j'ai pensé, mais disons que j'ai rajouté un peu de matière pour tous les gens qui viennent lire tes contribs (toujours passionnantes) et qui ne connaissent pas forcément les petits détails. J'ai déjà dit, et je confirme, que se taper 322 km sur piste ouverte en survie c'est pas donné à tout le monde - en fait quasiment personne. Mais faire 500 bornes sans dormir alors qu'à chaque tour ton sac de couchage te tend les bras, c'est pas non plus fait pour les petites saucisses avec plein de fayots autour.

Posté : 11 juil. 2011 10:54
par gui_gui
En ce moment, ce sont des petits runs de 50 à 100 km. C'est l'occasion pour moi de chercher la vitesse maximale, en carbone bas, sans gros risque de me retrouver cramé à 100 km de chez moi.
Mon dernier run, de 105 km, a été particulièrement intéressant (enfin je trouve), car il y avait un gros vent, de secteur Sud, d'environ 30 kmh. Favorable à l'aller, défavorable au retour. La température était douce (24°C). Le ciel était d'ailleurs magnifique : une cathédrale de nuages gris-bleutés faisant la course dans un grand ciel bleu.
La devise selon laquelle "si le vent est défavorable au retour, il faut s'économiser à l'aller" n'était plus vraiment valable.
En effet, avec un tel vent, si je ne réalise pas une excellente moyenne à l'aller, eh bien ce n'est certainement pas au retour que je vais arriver faire une bonne moyenne. Je dirais même que ma moyenne du retour va forcément plomber sérieusement ma moyenne générale. Alors, étant donné que pour une sortie de 100 km, je table sur 4 heures environ, j'ai vraiment tout donné, avec un minimum d'eau embarquée, et pas de nourriture du tout.
Voici ce que ça a donné, sachant que les 10 premiers kilomètres du parcours sont urbains, avec stops, feux rouges, et grosse côte pour rallier le point de départ)
Le tracé est celui de Metz - Malling - Metz:

http://www.openrunner.com/index.php?id=1086092
2 x 52,6 km = 105,2 km
De 16h06 à 20h17, soit 4h11 pour 105,2 km soit 25,14 kmh
Aller : de 16h06 à 17h58, soit 1h52 pour 52,6 km soit 28,178 kmh (il y a eu un très bon vent de dos)
Retour : de 17h58 à 20h17 soit 2h19 pour 52,6 km soit 22,7 kmh (vent de face ou de 3/4 très pénible)
Au total un bonne moyenne (25,14 kmh) mais quelques douleurs aux chevilles dues à mes nouveaux lacets : ils sont plus gros, plus épais, et du coup m'ont trop comprimé les pieds. Je devrai désserrer tout ça un peu.
Les sensations de glisse, vent de dos, à l'aller, ont été vraiment super.

Pour la petite histoire, sur le chemin du retour, entre Richemont et Talange, j'arrive en vue d'un passage sous pont. Je sais qu'actuellement, les pêcheurs aiment bien se planquer dessous pour pêcher et ils déposent souvent leur attirail à même la piste. J'aperçois donc un groupe de gens sous le pont, et je gueule à leur attention : "Attention" plusieurs fois. Je vois que ça bouge là-dessous, ils m'ont repéré. Je peux continuer en maintenant ma vitesse. Hélas, mille fois hélas ; quelle inconséquence de leur part, mais quel manque total de lucidité leur a fait poser une canne à pêche en travers de la piste, juste sous le pont. La canne est calée en bas à gauche conte le mur du pont, et appuyée en haut à droite contre la barrière métallique. Elle constitue donc un obstacle absolument inévitable, en diagonale devant moi. Donc le bazar a valdingué devant moi dans un bruit sec; en me retournant, j'ai vu qu'un des gars se prenait la tête à deux mains, de confusion et d'étonnement. Je suis sincèrement désolé pour eux, pour leur quiétude, pour leur matos, pour tout !
Mais comment peut-on faire de tels guet-apens sous les ponts ! ? D'autant plus que je n'étais pas le seul sur cette piste, des vélos de course arrivaient eux aussi derrière moi.

Posté : 14 juil. 2011 16:51
par heroics_fantasy
Ah j'ai croisé un randonneur tout à l'heure.
J'étais en balade tranquille avec ma nièce. une dizaine de km avec un vent de face sur le retour...

Lundi par contre petite balade Talange Thionville Talange. ça fait dans les 30km.

Posté : 14 juil. 2011 17:48
par gui_gui
Le randonneur, je ne sais pas si c'était moi, mais j'arrive justement d'un speed sur 70 km (Metz - Thionville - Metz), le vent était vraiment très puissant, latéral, car venant de l'Ouest. Franchement, ce vent n'était favorable ni à l'aller ni au retour ! J'ai croisé quelques gens en roller, je ne sais pas si tu en faisais partie. J'étais sur la piste cyclable entre 14h40 et 16h30, sinon avant et après j'étais en parcours urbain dans Metz.
En tout cas un vent très fort latéral c'est vraiment pas bon du tout !

Posté : 22 juil. 2011 5:57
par gui_gui
En ce moment on a vraiment un temps incertain; on ne sait plus quand et où la pluie va tomber. Hier soir je me lance quand même. La pluie menace : ciel très nuageux. Effectivement à Mondelange une grosse averse approche vers moi, venant du Nord. Je n'ai pas envie de finir la rando sous l'eau alors je fais demi-tour avec la pluie à mes trousses.
Finalement ça aura été une sortie de 49 km au lieu des 70 km souhaités...
(de 19h39 à 21h31 Metz -Mondelange - Metz, soit 1h52 pour (24,496 km x 2 = 48,99 km) soit 26,24 kmh)
http://www.openrunner.com/index.php?id=1114632
Je me remets petit à petit de mon accident de l'autre jour...

Posté : 27 juil. 2011 7:28
par XSFred
J'espère que tu te remets bien de ton accident.

Je viens de jeter un oeil sur ton blog, qui fait frémir, puisque à ce jour avec tes 5500 km tu as déjà fait plus de km que je n'en faisais en 1 an à l'époque où je roulais beaucoup, cad 10-15 h par semaine.

Un chiffre m'épate :
"Temp. fraîche 16°C. (aujourd'hui également, plus de 1100 pompes !...)"

Tu peux nous expliquer ?

Posté : 30 juil. 2011 7:56
par sanglier76
hier découverte de la portion entre argancy et La maxe: Superbe !!

J'ai toujours fait demi tour au pont d' argancy à cause de la portion sur la route,quel dommage 100 metres plus bas la piste est super en bordure de moselle !!

Belle sortie de 37 km avec la surprise de voir à mon retour que la pluie était tombé énormemnt entre Hauconcourt et Uckange...

Ca m'a fait un entrainement sur chaussée détrempée et mes K2 ont eu droit à une séance de néttoyage en profondeur !!

Le parcours d'hier fait en 1h58,vent moyen sur le retour,23 degrés:

http://www.openrunner.com/index.php?id=1135492

Posté : 30 juil. 2011 8:16
par gui_gui
Génial même ! Argancy - La Maxe, c'est un super billard.
J'ai regardé ton tracé : Uckange - La Maxe. Tu aurais pu pousser 1 km de plus à gauche, et aller admirer l'usine EDF de La Maxe ! Pour ma part j'adore passer la centrale hydro électrique d'Argancy, ce coin est vraiment paisible. Il y a un restaurant (les clients doivent vraiment bien connaitre le coin !...) J'ai une grosse rando de prévue pour ce lundi 1er août, on va voir ce que ça donne de rouler un lundi en allemagne...

Posté : 30 juil. 2011 8:46
par sanglier76
Oui j'aurias pu mais en buvant sur le petit parking à la maxe j'ai vu le ciel noir vers uckange....Le vent se levait j'ai préférer faire demi tour car dans le coin il n'y a pas beaucoup d'endroits pour s'abriter.
plus loin il y a de nombreux ponts !
Heureusement l'averse est tombée avant que je revienne sur mes pas.

J'essayerais la prochaine fois d'aller plus loin,peut etre en partant de thionville.

Bon courage pour lundi,j'espere que ta blessure va mieux.

Posté : 02 août 2011 6:22
par gui_gui
Eh bien ça y est :
1er Août 2011
Metz - Piesport - Metz de 03h50 à 20h15 soit 16h25 pour 324,3 km soit 19,75 kmh.
http://www.openrunner.com/index.php?id=1142556
Lever au réveil à 3 h du matin. Petit déj léger et départ à 3h50. J'embarque dans mon sac à dos et dans mon sac banane : nourriture, poudre isotonique Isostar, et 1,650 l d'eau.
La météo est vraiment en panne depuis un bon moment. Le ciel est couvert, il fait 15°C, vent quasi nul. Comme c'est la nouvelle lune, la lune est invisible, et il ferait nuit noire si le ciel n'était pas couvert. Mais ce "plafond" laiteux agit comme une sorte de néon en renvoyant une partie des lumières de la ville. Je m'éclaire avec ma petite lampe led. Dans le noir les bestioles s'amusent bien (lapins, hiboux, belettes)...
Ma côte me fait encore bien mal, ça pique en haut à droite. De temps en temps ça se calme. Je dois juste éviter de trop tirer mon bras droit en arrière (en position de bras dans le dos).
Le jour se lève à grand peine sur un ciel couvert, tout est gris et cela porte un coup à mon moral, d'autant plus qu'il fait assez frais.
Arrivé entre Rettel et Sierck-les-Bains, je constate que le passage à niveau, qui était en travaux, et au travers duquel on pouvait se faufiler, est cette fois-ci hermétiquement clos par une haute barrière. Je vais devoir emprunter la terrible piste cyclable de gratton énorme qui longe les quais de Sierck-les-Bains.
Besch, Allemagne : Je puise 2 l d'eau au robinet du cimetière. Le long des tas de charbon, de nouvelles barrières ont été posées.
Temmels : je puise 1 l au robinet du Burgerhaus. Je ne rencontre personne sur cette piste en ce lundi matin...
Trèves : enfin les travaux qui obstruaient la piste sont terminés. Je n'achète pas d'eau à la station Shell, car je vais en avoir assez jusqu'à Neumagen.
Ruwer : la piste entre Trèves et Ruwer est un infâme gratton, mais là en plus des portions ont été fraîchement gravillonées !
Neumagen : j'achète 1,5 l d'eau à une superette discount située au carrefour du pont. Après avoir effectué mes mélanges de poudre, je décide de pousser jusqu'au bourg suivant : Piesport. Le soleil a enfin réussi à percer les nuages, et il s'imposera de plus en plus jusqu'à la fin de la journée. J'hésite un bon moment sur l'itinéraire à prendre, puis finalement je décide de franchir le pont de Neumagen pour pousser jusqu'à Piesport par la rive gauche. Il s'avère que la piste est en mauvais état, elle grattonne, et ensuite le paysage devient carrément montagneux : la piste s'élève dans les vignes et commence à jouer aux montagnes russes. Or, à ce point de mon parcours, il n'est pas trop indiqué de s'amuser à faire de la montée, d'autant plus que les descentes sont impressionnantes ; toutes en lacets et très pentues. Je décide donc de faire demi-tour en empruntant le 2ème pont de Piesport, qui s'avère être un pont autorisé aux 9 tonnes maximum, et fermé par des barrières à la circulation.
Arrivé donc rive droite sur Piesport, je remonte vers Neumagen, mais là, la piste est en pavés ! Mes chevilles souffrent terriblement de ce traitement, et tout mon corps aussi. La piste redevient enfin en bitume, mais très grattonneux, sous forme de petite route de vignes. Tout ceci est magnifique, mais dans le cadre d'une longue rando comme celle-ci, cela me tue vraiment.
Enfin Neumagen et le chemin du retour. La température va monter jusqu'à 26°C.
Trèves : j'achète 2 l d'eau à la staion Shell.
Temmels : je ne m'arrête pas pour puiser de l'eau : j'en aurai assez jusqu'à Besch.
Besch : je puise 2,650 l.
Au niveau d'Illange, je croise un vitesseux, la quarantaine, chaussant ce qui ressemblait à des C2 jaune et noir; il filait bon train (c'est assez rare par ici).
Les côtes qui montent vers chez moi me finissent.
Au total j'aurai bu 10,5 l d'eau, et mon poids n'aura diminué que de 1,5 kg.
Mais les trop nombreux grattons m'ont causé bien du souci !

Image

Piesport

Posté : 02 août 2011 7:33
par alfathor
T'as plus qu'à nous rejoindre au Mans en solo l'année prochaine :-)

Posté : 02 août 2011 8:04
par Marc Z
gui_gui a écrit : Metz - Piesport - Metz de 03h50 à 20h15 soit 16h25 pour 324,3 km soit 19,75 kmh.
Tssss. Tu aurais pu pousser jusqu'à Bernkastel-Kues. C'est mignon, Bernkastel-Kues :P

Posté : 02 août 2011 8:44
par XSFred
alfathor a écrit :T'as plus qu'à nous rejoindre au Mans en solo l'année prochaine :-)
Si on essaie en effet de transposer ta performance sur le circuit du Mans, et si tu tolères de rouler en peloton, on arrive à des chiffres impressionnants.

Aussi impressionnante est ta consommation d'eau : au Mans il fait traditionnellement chaud (35°C) et là aussi, si on part de 10.5 L en 16h, on va s'approcher des 20 L en 24 heures - soit 18 g de sodium, ou encore 46 g de sel de table, tu vas en avoir des petits pots à gérer.

Posté : 02 août 2011 10:17
par gui_gui
Bernkastel-Kues : oui, c'est sûrement très joli mais il fallait garder du jus pour le retour. j'irai un jour par la rive droite (en pavés, mais je suppose que ça redevient du bitume plus loin) car par la rive gauche, ce sont des montagnes russes. A moins de partir de Trèves et d'affronter ça "en pleine forme".
@ youb solo : merci pour tes compliments, venant de toi c'est toujours très gratifiant ! je n'ai pas respecté les préconisations d'Isostar (3 dosettes de 20 g par 50 cl d'eau) je me suis contenté de 2 dosettes par 50 cl, ce qui n'est déjà pas mal. J'ai de toutes façons compensé le sodium en mangeant des tartines de roquefort, très salé. Isostar est bien meilleur au goût qu'Aptonia, de plus, il ne génère pas de nausée, et surtout pas d'acidité gastrique et pas de "courante" ! Si on respecte leurs doses, ça fait trop sucré au goût et peu désaltérant.

Posté : 05 août 2011 16:19
par gui_gui
Comme tout le monde sait, la rivière Saar se jette dans la Moselle à Konz :D
En tapant le mot "Radweg" sur Google, mot magique allemand signifiant tout ce qui nous enchante en matière de pistes cyclables, j'ai trouvé de formidables tracés sur des sites allemands, dont un, qui me plaît beaucoup :
Konz - Sarreguemines, 110 km. Ce qui est bien, c'est que le tracé à été étudié de façon à emprunter l'itinéraire le plus roulant et sécurisé, le long de la Saar.
Le site allemand :
http://www.tourismus.saarland.de/de/radwege
La rubrique qui m'intéresse :
http://www.tourismus.saarland.de/de/saa ... aarradland
Le tracé de ladite rubrique : (il suffit de cliquer sur le bouton vert en bas de page : Tourendetails.
Et voilà le beau tracé :

http://alpregio.outdooractive.com/ar-sa ... ab=TourTab

Mais comme moi je préfère l'avoir sous Openrunner, eh bien je me suis tapé la copie manuelle du tracé, au zoom, ça m'a pris au moins 2 heures (heu, il pleut et je me repose en fait) :

http://www.openrunner.com/index.php?id=1151459

Posté : 05 août 2011 16:47
par sanglier76
Super j'avais déja aperçu la piste en allant chez mobel martin à ensdorf je pensais pas que c'etait long comme cela !
C'est à 50 minutes de chez moi ca mérite une excursion !!
Merci pour le tracé openrunner qui est nickel !