Posté : 09 juin 2012 5:46
Vendredi 8 juin :
X-Tech speed Metz - Remich - Metz
De 11h50 à 18h29 soit 6h39 pour 149,6 km soit 22,49 kmh
Aller : De 11h50 à 14h40 soit 2h50 pour 74 km soit 26,11 kmh (yeah !)
Retour : De 14h40 à 18h29 soit 3h49 pour 75,6 km soit 19,80 kmh (ouch !)
Température douce, environ 22°C, mais vent fort de SW 30 à 40 kmh, favorable à l'aller, défavorable au retour.
Ciel chaotique : nuages, soleil, pluie.
J'ai embarqué :
3 gourdes de 650 cl d'eau additionnée de poudre isotonique ;
1 bouteille d'1 l d'eau simple
1 gourde de 500 cl de porridge (muesli - thé vert - lait - miel)
3 briochettes
galettes au beurre
Fruits secs
L'expérience des 6 heures de Troyes, sous la pluie et dans le vent, m'aura donné une confiance certaine quant à mes capacités à affronter la pluie.
De même pour le port du casque : ce n'est finalement pas si contraignant. Je pense le mettre systématiquement désormais.
Ayant décidé de partir avant midi, j'ai planifié une sorte de repas embarqué sous forme de muesli en bouillie, que je bois à même une gourde (en dévissant le capuchon), puis de brioches. En tout cas ça passe très bien !
De formidables pointes de vitesse à l'aller, littéralement porté par un vent favorable et fort.
Un retour très technique face au même vent, en gardant une cadence faible et une bonne amplitude.
Rue du trou aux serpents : très forte circulation, car c'est devenu un itinéraire de déviation (travaux sur autoroute).
C'est une rue théoriquement limitée à 50 kmh, mais ça roule à plus de 70.
Piste La Maxe - Argancy : la végétation est en train de dévorer la piste : faudra que je pense à prendre une machette la prochaine fois...
Malling : bonne nouvelle, l'asphalte de la route a été refait à neuf : on franchit le pont et la descente sur un billard. Mais ils auraient mieux fait de refaire la piste cyclable qui elle, demeure médiocre.
Berg sur Moselle : une flaque d'eau géante consécutive aux récentes pluie diluviennes : on peut heureusement contourner par l'herbe facilement.
Le gratton de la route du vin, entre Contz et Schengen, est rapidement survolé grâce à ce bon vent de dos.
Depuis mon départ, les nuages sont menaçants et filent à toute vitesse dans le ciel.
Arrivé à Remich, il me reste 1 litre d'eau dans mon sac à dos, plus une demie-gourde que je tiens en main.
Sachant que je mettrai au bas mot une heure de plus au retour qu'à l'aller, je dois puiser de l'eau.
Or, il se trouve que les nuages deviennent de plus en plus menaçants, promesse d'une averse imminente.
Passer le pont et aller puiser de l'eau à Besch m'expose donc au risque d'affronter la terrible piste allemande en béton grattonneux sous la pluie, tandis que trouver de l'eau à Remich même m'éviterait cette peine.
Je me pose la question de savoir si je me mets en quête d'eau dans Remich. Mais, après avoir demandé, puis cherché en vain pendant 3 minutes autour de l'esplanade, je décide de prendre l'option N° 1 : Besch. Je franchis donc le pont, et m'engage ensuite sur la piste, face à un terrible vent. La pluie ne se fait pas attendre, et c'est une averse drue qui me souhaite la bienvenue en Allemagne.
Ce vieux béton de piste est trop vieux, vraiment. Il est extrêmement glissant. Je n'ai aucune accroche, j'avance à petites foulées, à 10 kmh.
Au cimetière, je puise 2 gourdes et fais mes petits mélanges de poudre, sous une pluie devenue fine. La pluie s'est arrêtée, et je continue sur le glissant jusqu'à Schengen. Le soleil apparaît, faisant monter dans l'air une vapeur parfumée à l'argile, mais vite balayée par le vent. Je franchis le pont de Schengen, puis m'engage sur la route du Vin, en direction de Contz-les-Bains, et je constate avec un grand soulagement qu'ici, il n'a pas plu. La route est sèche et le soleil s'impose.
Le retour est donc technique, face au vent, et très éprouvant. Malgré tout, je garde une position de patinage basse et stable.
La pluie refait un peu parler d'elle sur la piste de La Maxe, mais rien de bien méchant. Je traverse la ville à bonne allure, vent de dos, avant de terminer par les grandes côtes qui montent chez moi.
Et c'est exactement ça : j'ai mis pile 1 heure de plus à l'aller qu'au retour ! Pas mal, pour un "6 heures" !
J'aurai bu au total 6,5 gourdes de 650 cl, soit 4,2 litres.
X-Tech speed Metz - Remich - Metz
De 11h50 à 18h29 soit 6h39 pour 149,6 km soit 22,49 kmh
Aller : De 11h50 à 14h40 soit 2h50 pour 74 km soit 26,11 kmh (yeah !)
Retour : De 14h40 à 18h29 soit 3h49 pour 75,6 km soit 19,80 kmh (ouch !)
Température douce, environ 22°C, mais vent fort de SW 30 à 40 kmh, favorable à l'aller, défavorable au retour.
Ciel chaotique : nuages, soleil, pluie.
J'ai embarqué :
3 gourdes de 650 cl d'eau additionnée de poudre isotonique ;
1 bouteille d'1 l d'eau simple
1 gourde de 500 cl de porridge (muesli - thé vert - lait - miel)
3 briochettes
galettes au beurre
Fruits secs
L'expérience des 6 heures de Troyes, sous la pluie et dans le vent, m'aura donné une confiance certaine quant à mes capacités à affronter la pluie.
De même pour le port du casque : ce n'est finalement pas si contraignant. Je pense le mettre systématiquement désormais.
Ayant décidé de partir avant midi, j'ai planifié une sorte de repas embarqué sous forme de muesli en bouillie, que je bois à même une gourde (en dévissant le capuchon), puis de brioches. En tout cas ça passe très bien !
De formidables pointes de vitesse à l'aller, littéralement porté par un vent favorable et fort.
Un retour très technique face au même vent, en gardant une cadence faible et une bonne amplitude.
Rue du trou aux serpents : très forte circulation, car c'est devenu un itinéraire de déviation (travaux sur autoroute).
C'est une rue théoriquement limitée à 50 kmh, mais ça roule à plus de 70.
Piste La Maxe - Argancy : la végétation est en train de dévorer la piste : faudra que je pense à prendre une machette la prochaine fois...
Malling : bonne nouvelle, l'asphalte de la route a été refait à neuf : on franchit le pont et la descente sur un billard. Mais ils auraient mieux fait de refaire la piste cyclable qui elle, demeure médiocre.
Berg sur Moselle : une flaque d'eau géante consécutive aux récentes pluie diluviennes : on peut heureusement contourner par l'herbe facilement.
Le gratton de la route du vin, entre Contz et Schengen, est rapidement survolé grâce à ce bon vent de dos.
Depuis mon départ, les nuages sont menaçants et filent à toute vitesse dans le ciel.
Arrivé à Remich, il me reste 1 litre d'eau dans mon sac à dos, plus une demie-gourde que je tiens en main.
Sachant que je mettrai au bas mot une heure de plus au retour qu'à l'aller, je dois puiser de l'eau.
Or, il se trouve que les nuages deviennent de plus en plus menaçants, promesse d'une averse imminente.
Passer le pont et aller puiser de l'eau à Besch m'expose donc au risque d'affronter la terrible piste allemande en béton grattonneux sous la pluie, tandis que trouver de l'eau à Remich même m'éviterait cette peine.
Je me pose la question de savoir si je me mets en quête d'eau dans Remich. Mais, après avoir demandé, puis cherché en vain pendant 3 minutes autour de l'esplanade, je décide de prendre l'option N° 1 : Besch. Je franchis donc le pont, et m'engage ensuite sur la piste, face à un terrible vent. La pluie ne se fait pas attendre, et c'est une averse drue qui me souhaite la bienvenue en Allemagne.
Ce vieux béton de piste est trop vieux, vraiment. Il est extrêmement glissant. Je n'ai aucune accroche, j'avance à petites foulées, à 10 kmh.
Au cimetière, je puise 2 gourdes et fais mes petits mélanges de poudre, sous une pluie devenue fine. La pluie s'est arrêtée, et je continue sur le glissant jusqu'à Schengen. Le soleil apparaît, faisant monter dans l'air une vapeur parfumée à l'argile, mais vite balayée par le vent. Je franchis le pont de Schengen, puis m'engage sur la route du Vin, en direction de Contz-les-Bains, et je constate avec un grand soulagement qu'ici, il n'a pas plu. La route est sèche et le soleil s'impose.
Le retour est donc technique, face au vent, et très éprouvant. Malgré tout, je garde une position de patinage basse et stable.
La pluie refait un peu parler d'elle sur la piste de La Maxe, mais rien de bien méchant. Je traverse la ville à bonne allure, vent de dos, avant de terminer par les grandes côtes qui montent chez moi.
Et c'est exactement ça : j'ai mis pile 1 heure de plus à l'aller qu'au retour ! Pas mal, pour un "6 heures" !
J'aurai bu au total 6,5 gourdes de 650 cl, soit 4,2 litres.