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Un article de Yann Guyader paru en décembre sur le blog CadoMotus qui bouscule des idées reçues sur la dureté des roues et le poids du patineur.
En tout cas ça bouscule les miennes....

http://www.cadomotus.com/blog/index.php ... ter-wheels

je pense que cette idée d'avoir une bande de roulement plus large au sol concerne plus les patineurs ayant une "power box" (zone de poussée efficace) assez large, c'est à dire les nationaux et élites ... pour le commun des mortels, la différence ne devrait pas être flagrante ?

Interressant
autant je comprends bien pour la poussée la surface doit etre suffisante pour passer la puissance en gros comme en voiture avec des pneux larges.
Autant pour le roulage j'ai un peu de mal a suivre sauf si l'empreinte est vraiment proportionnelle à la puissance de poussée
Dans ce cas en roulage la roue reste "normal" car juste le poid du patineur (pas de poussée)
Donc c'est AMHA une bonne idée mais cela obligera a énormement tester les roues pour trouver celles qui conviennet en fonction non pas du poids du patineur mais bien de la puissance que le patineur est capable d'envoyer à la poussée.

Tout à fait d'accord si on roule sur piste ou circuit routier mais sur marathon? L'adhérence étant peu importante à côté du roulage je ferais plutôt l'inverse, j'ai carrément l'impression de mieux rouler avec des roues molles sur route ( les roues qui vibrent sur le Gratton...) Mais bon, maintenant avec les roues qui se déforment la théorie de yann est peut être valable pour tout type de revêtement et de course.

Il est evoqué surtout l'adhérence a la poussée donc je pense que le style du patineur joue dans cette problématique
Un patineur puissant aura besoin de plus de grip à la poussée pour "faire passer cette puissance" qu'un patineur plus "léger"

Je me trompe ou nous sommes dans un rapport poid/puissance ?