J'ai fait ce que j'ai dit. Objectif rempli. 100,44 km. 54 tours. 24,44 km/h de moyenne.
Juste par curiosité, j'aimerais comprendre comment Thierry a pu mettre 2 min 54 pour son meilleur tour alors que personne d'autre n'est descendu en-dessous des 3 minutes.
Séquelles d'après course : un bout de peau derrière la malléole arrachée, deux roues Matter blanches positionnées à l'avant défoncées et un léger mal aux lombaires.
Le circuit doit être unique en France, en Europe voire même dans le monde entier pour une course d'endurance, mais on est tous un peu fadas dans ce sport.
J'en profite pour remercier les organisateurs de la FIC de Gournay de nous avoir fait rouler la semaine précédente sur un vrai « champ de patates », ce qui m'a permis de relativiser pendant 4 heures sur ce petit circuit villeurbannais.
Je remercie aussi tous les coureurs derrière qui j'ai pu rouler : Solen, Mathilde, Jana, que je n'avais pas reconnue !... Tiens, que des filles...

Bah, c'est normal, au bout de 2 heures de course, les gars en équipe allaient trop vite pour qu'on les accroche ; et puis, c'est vachement moins motivant comme draft.
Une spéciale dédicace à ma Cloclo, qui est venu à Lyon ce week-end à cause du boulot, qui s'est inscrite presque au dernier moment et qui fait une belle première place en solo chez les filles.
À la prochaine. Pour moi, ce sera Dijon.
