La Moselle en Roller
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- gui_gui
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Vendredi 8 juin :
X-Tech speed Metz - Remich - Metz
De 11h50 à 18h29 soit 6h39 pour 149,6 km soit 22,49 kmh
Aller : De 11h50 à 14h40 soit 2h50 pour 74 km soit 26,11 kmh (yeah !)
Retour : De 14h40 à 18h29 soit 3h49 pour 75,6 km soit 19,80 kmh (ouch !)
Température douce, environ 22°C, mais vent fort de SW 30 à 40 kmh, favorable à l'aller, défavorable au retour.
Ciel chaotique : nuages, soleil, pluie.
J'ai embarqué :
3 gourdes de 650 cl d'eau additionnée de poudre isotonique ;
1 bouteille d'1 l d'eau simple
1 gourde de 500 cl de porridge (muesli - thé vert - lait - miel)
3 briochettes
galettes au beurre
Fruits secs
L'expérience des 6 heures de Troyes, sous la pluie et dans le vent, m'aura donné une confiance certaine quant à mes capacités à affronter la pluie.
De même pour le port du casque : ce n'est finalement pas si contraignant. Je pense le mettre systématiquement désormais.
Ayant décidé de partir avant midi, j'ai planifié une sorte de repas embarqué sous forme de muesli en bouillie, que je bois à même une gourde (en dévissant le capuchon), puis de brioches. En tout cas ça passe très bien !
De formidables pointes de vitesse à l'aller, littéralement porté par un vent favorable et fort.
Un retour très technique face au même vent, en gardant une cadence faible et une bonne amplitude.
Rue du trou aux serpents : très forte circulation, car c'est devenu un itinéraire de déviation (travaux sur autoroute).
C'est une rue théoriquement limitée à 50 kmh, mais ça roule à plus de 70.
Piste La Maxe - Argancy : la végétation est en train de dévorer la piste : faudra que je pense à prendre une machette la prochaine fois...
Malling : bonne nouvelle, l'asphalte de la route a été refait à neuf : on franchit le pont et la descente sur un billard. Mais ils auraient mieux fait de refaire la piste cyclable qui elle, demeure médiocre.
Berg sur Moselle : une flaque d'eau géante consécutive aux récentes pluie diluviennes : on peut heureusement contourner par l'herbe facilement.
Le gratton de la route du vin, entre Contz et Schengen, est rapidement survolé grâce à ce bon vent de dos.
Depuis mon départ, les nuages sont menaçants et filent à toute vitesse dans le ciel.
Arrivé à Remich, il me reste 1 litre d'eau dans mon sac à dos, plus une demie-gourde que je tiens en main.
Sachant que je mettrai au bas mot une heure de plus au retour qu'à l'aller, je dois puiser de l'eau.
Or, il se trouve que les nuages deviennent de plus en plus menaçants, promesse d'une averse imminente.
Passer le pont et aller puiser de l'eau à Besch m'expose donc au risque d'affronter la terrible piste allemande en béton grattonneux sous la pluie, tandis que trouver de l'eau à Remich même m'éviterait cette peine.
Je me pose la question de savoir si je me mets en quête d'eau dans Remich. Mais, après avoir demandé, puis cherché en vain pendant 3 minutes autour de l'esplanade, je décide de prendre l'option N° 1 : Besch. Je franchis donc le pont, et m'engage ensuite sur la piste, face à un terrible vent. La pluie ne se fait pas attendre, et c'est une averse drue qui me souhaite la bienvenue en Allemagne.
Ce vieux béton de piste est trop vieux, vraiment. Il est extrêmement glissant. Je n'ai aucune accroche, j'avance à petites foulées, à 10 kmh.
Au cimetière, je puise 2 gourdes et fais mes petits mélanges de poudre, sous une pluie devenue fine. La pluie s'est arrêtée, et je continue sur le glissant jusqu'à Schengen. Le soleil apparaît, faisant monter dans l'air une vapeur parfumée à l'argile, mais vite balayée par le vent. Je franchis le pont de Schengen, puis m'engage sur la route du Vin, en direction de Contz-les-Bains, et je constate avec un grand soulagement qu'ici, il n'a pas plu. La route est sèche et le soleil s'impose.
Le retour est donc technique, face au vent, et très éprouvant. Malgré tout, je garde une position de patinage basse et stable.
La pluie refait un peu parler d'elle sur la piste de La Maxe, mais rien de bien méchant. Je traverse la ville à bonne allure, vent de dos, avant de terminer par les grandes côtes qui montent chez moi.
Et c'est exactement ça : j'ai mis pile 1 heure de plus à l'aller qu'au retour ! Pas mal, pour un "6 heures" !
J'aurai bu au total 6,5 gourdes de 650 cl, soit 4,2 litres.
X-Tech speed Metz - Remich - Metz
De 11h50 à 18h29 soit 6h39 pour 149,6 km soit 22,49 kmh
Aller : De 11h50 à 14h40 soit 2h50 pour 74 km soit 26,11 kmh (yeah !)
Retour : De 14h40 à 18h29 soit 3h49 pour 75,6 km soit 19,80 kmh (ouch !)
Température douce, environ 22°C, mais vent fort de SW 30 à 40 kmh, favorable à l'aller, défavorable au retour.
Ciel chaotique : nuages, soleil, pluie.
J'ai embarqué :
3 gourdes de 650 cl d'eau additionnée de poudre isotonique ;
1 bouteille d'1 l d'eau simple
1 gourde de 500 cl de porridge (muesli - thé vert - lait - miel)
3 briochettes
galettes au beurre
Fruits secs
L'expérience des 6 heures de Troyes, sous la pluie et dans le vent, m'aura donné une confiance certaine quant à mes capacités à affronter la pluie.
De même pour le port du casque : ce n'est finalement pas si contraignant. Je pense le mettre systématiquement désormais.
Ayant décidé de partir avant midi, j'ai planifié une sorte de repas embarqué sous forme de muesli en bouillie, que je bois à même une gourde (en dévissant le capuchon), puis de brioches. En tout cas ça passe très bien !
De formidables pointes de vitesse à l'aller, littéralement porté par un vent favorable et fort.
Un retour très technique face au même vent, en gardant une cadence faible et une bonne amplitude.
Rue du trou aux serpents : très forte circulation, car c'est devenu un itinéraire de déviation (travaux sur autoroute).
C'est une rue théoriquement limitée à 50 kmh, mais ça roule à plus de 70.
Piste La Maxe - Argancy : la végétation est en train de dévorer la piste : faudra que je pense à prendre une machette la prochaine fois...
Malling : bonne nouvelle, l'asphalte de la route a été refait à neuf : on franchit le pont et la descente sur un billard. Mais ils auraient mieux fait de refaire la piste cyclable qui elle, demeure médiocre.
Berg sur Moselle : une flaque d'eau géante consécutive aux récentes pluie diluviennes : on peut heureusement contourner par l'herbe facilement.
Le gratton de la route du vin, entre Contz et Schengen, est rapidement survolé grâce à ce bon vent de dos.
Depuis mon départ, les nuages sont menaçants et filent à toute vitesse dans le ciel.
Arrivé à Remich, il me reste 1 litre d'eau dans mon sac à dos, plus une demie-gourde que je tiens en main.
Sachant que je mettrai au bas mot une heure de plus au retour qu'à l'aller, je dois puiser de l'eau.
Or, il se trouve que les nuages deviennent de plus en plus menaçants, promesse d'une averse imminente.
Passer le pont et aller puiser de l'eau à Besch m'expose donc au risque d'affronter la terrible piste allemande en béton grattonneux sous la pluie, tandis que trouver de l'eau à Remich même m'éviterait cette peine.
Je me pose la question de savoir si je me mets en quête d'eau dans Remich. Mais, après avoir demandé, puis cherché en vain pendant 3 minutes autour de l'esplanade, je décide de prendre l'option N° 1 : Besch. Je franchis donc le pont, et m'engage ensuite sur la piste, face à un terrible vent. La pluie ne se fait pas attendre, et c'est une averse drue qui me souhaite la bienvenue en Allemagne.
Ce vieux béton de piste est trop vieux, vraiment. Il est extrêmement glissant. Je n'ai aucune accroche, j'avance à petites foulées, à 10 kmh.
Au cimetière, je puise 2 gourdes et fais mes petits mélanges de poudre, sous une pluie devenue fine. La pluie s'est arrêtée, et je continue sur le glissant jusqu'à Schengen. Le soleil apparaît, faisant monter dans l'air une vapeur parfumée à l'argile, mais vite balayée par le vent. Je franchis le pont de Schengen, puis m'engage sur la route du Vin, en direction de Contz-les-Bains, et je constate avec un grand soulagement qu'ici, il n'a pas plu. La route est sèche et le soleil s'impose.
Le retour est donc technique, face au vent, et très éprouvant. Malgré tout, je garde une position de patinage basse et stable.
La pluie refait un peu parler d'elle sur la piste de La Maxe, mais rien de bien méchant. Je traverse la ville à bonne allure, vent de dos, avant de terminer par les grandes côtes qui montent chez moi.
Et c'est exactement ça : j'ai mis pile 1 heure de plus à l'aller qu'au retour ! Pas mal, pour un "6 heures" !
J'aurai bu au total 6,5 gourdes de 650 cl, soit 4,2 litres.
- gui_gui
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23 Juin 2012
X-Tech speed et accident !
Je m'étais préparé pour un 200 bornes (Metz - Oberbillig - Metz) avec ravitaillement en eau prévu à Temmels
Départ à 11h39, arrivé à 12h36 à Richemont, soit 57 minutes pour 26,5 km, soit 27,89 kmh.
Une excellente moyenne grâce en partie à un vent favorable de SW. Température douce, environ 20°C. Un ciel bleu avec quelques nuages.
La végétation sur la piste de La Maxe se rejoint presque maintenant par-dessus la voie. Impossible de patiner normalement, on a les patins qui se mettent dans les herbes. Croisements difficiles aussi avec les vélos. C'est très joli, plein de fleurs mais peu pratique. Heureusement cela ne concerne que 2 km environ.
A Richemont, sur la piste cyclable côté usine, je découvre un nouveau ralentisseur (bande métallique jaune et noire en travers de la piste).
Comme je descendais assez vite, j'ai juste sauté la bosse. Je continue en direction de la barrière rouge et blanche, celle qui interdit l'accès aux voitures.
J'ai tellement l'habitude de passer par là que je regarde à peine l'étroit passage par lequel il m'est arrivé de nombreuses fois de passer à 30 kmh.
De plus je porte des lunettes de soleil (bas de gamme, avec une très mauvaise visibilité)...
Bref, tout ça pour dire que je n'ai absolument pas vu arriver une deuxième petite barrière, qui a été fixée au sol devant l'ancienne, empêchant un passage direct.
Je visualise ce nouvel objet jusqu'alors inconnu alors que je ne suis qu'à 1,5 mètres, et j'arrive à 30 à l'heure !
J'attrape la barrière avec les mains, mais évidemment, à cette vitesse, elle m'échappe : ça me fait faire un 180, mais je continue en arrière,
déséquilibré et en chute. Le poteau vertical de l'autre barrière me réceptionne brutalement dans le bas du dos, dans le creux du dos, sur le côté droit.
Une fraction de seconde plus tard, mon front vient heurter le sol d'un coup sec ! Là, je me dis que je suis foutu.
C'est là que je me rappelle que j'ai mis le casque ! Et ça m'a sauvé la tête. Par contre, le dos, les côtes... ça va pas du tout.
La douleur est si forte que je ne peux pas me relever. J'ai un genou qui pisse le sang. Comme tout ceci s'est passé juste devant le poste de l'éclusier, je crie à l'aide. Des gens arrivent, on appelle les pompiers car vraiment, ça va pas du tout. Je parviens quand même à déchausser et ranger mes rollers dans mon sac à dos, puis à aller vider par terre le contenu de mes bouteilles, car désormais je sais que ma rando est foutue, et peut-être aussi
le Mans la semaine prochaine. On roule dans le camion de pompiers vers Metz... On arrive à l'hôpital Bon Secours... où je poireaute pendant 3 heures qu'on s'occupe de moi. La radio ne révèle cependant pas de fracture aux côtes. Par contre, c'est enflé, et j'ai toutes les peines du monde à marcher.
Je sens bien un "clic-clac" quelque part au niveau des côtes flottantes, et comme ils me l'ont dit à l'hôpital, la radio ne permet pas forcément de voir ce qui est fêlé. Il est 16h00 lorsque je sors enfin de l'hôpital, j'ai un gros pansement au genou, je boîte, j'ai de la peine à bouger le dos, et je m'assois sur un trottoir pour rechausser mes rollers et mettre mon casque sous le regard incrédule de quelques malades et infirmiers.
Je mets 45 minutes à regagner la maison, tout doucement, sans forcer (de toutes façons je ne peux vraiment pas forcer !) et les grandes montées sont un calvaire, que je me résigne à endurer malgré la douleur.
Ce soir j'ai eu droit à un bon massage... et on a clairement senti un petit bout de côte flottante qui se baladait. Au moins ça ne m'empêche pas de respirer ni de tousser. (enfin pas trop fort non plus).
Que je me choppe des barrières cachées en embuscade passe encore, mais des barrières en plein milieu du chemin, comme ça, bêtement, c'est vraiment trop con. En fait si j'avais pas porté ces lunettes en plastique rayé, j'y aurais vu un peu plus clair...
Et puis j'y pense : le casque m'a sauvé, mais vraiment sauvé : il faut avoir vécu ça pour se rendre compte de l'importance du casque.
Maintenant, je suis dans l'attente et dans l'incertitude pour le Mans : est-ce que je serai remis d'aplomb d'ici une semaine ?
Le lendemain, nette amélioration. En faisant quelques mouvements, quelque chose a craqué et s'est "remis en place" dans mon dos.
J'ai beaucoup gagné en mobilité et les douleurs ont diminué en intensité.
Une petite douleur sur l'arcade sourcilière droite me renseigne sur la nature du coup que j'ai reçu : si je n'avais pas eu de casque, je serais dans le meilleur des cas à l'hôpital à l'heure qu'il est. Dans le pire... à la morgue.
Le surlendemain, retour en force des douleurs. Le coup classique : ça fait vraiment mal 2 jours après. ça bouge beaucoup à l'intérieur (côtes flottantes cassées) et tout ce qui est rotation inclinaison du buste quasiment impossible.
X-Tech speed et accident !
Je m'étais préparé pour un 200 bornes (Metz - Oberbillig - Metz) avec ravitaillement en eau prévu à Temmels
Départ à 11h39, arrivé à 12h36 à Richemont, soit 57 minutes pour 26,5 km, soit 27,89 kmh.
Une excellente moyenne grâce en partie à un vent favorable de SW. Température douce, environ 20°C. Un ciel bleu avec quelques nuages.
La végétation sur la piste de La Maxe se rejoint presque maintenant par-dessus la voie. Impossible de patiner normalement, on a les patins qui se mettent dans les herbes. Croisements difficiles aussi avec les vélos. C'est très joli, plein de fleurs mais peu pratique. Heureusement cela ne concerne que 2 km environ.
A Richemont, sur la piste cyclable côté usine, je découvre un nouveau ralentisseur (bande métallique jaune et noire en travers de la piste).
Comme je descendais assez vite, j'ai juste sauté la bosse. Je continue en direction de la barrière rouge et blanche, celle qui interdit l'accès aux voitures.
J'ai tellement l'habitude de passer par là que je regarde à peine l'étroit passage par lequel il m'est arrivé de nombreuses fois de passer à 30 kmh.
De plus je porte des lunettes de soleil (bas de gamme, avec une très mauvaise visibilité)...
Bref, tout ça pour dire que je n'ai absolument pas vu arriver une deuxième petite barrière, qui a été fixée au sol devant l'ancienne, empêchant un passage direct.
Je visualise ce nouvel objet jusqu'alors inconnu alors que je ne suis qu'à 1,5 mètres, et j'arrive à 30 à l'heure !
J'attrape la barrière avec les mains, mais évidemment, à cette vitesse, elle m'échappe : ça me fait faire un 180, mais je continue en arrière,
déséquilibré et en chute. Le poteau vertical de l'autre barrière me réceptionne brutalement dans le bas du dos, dans le creux du dos, sur le côté droit.
Une fraction de seconde plus tard, mon front vient heurter le sol d'un coup sec ! Là, je me dis que je suis foutu.
C'est là que je me rappelle que j'ai mis le casque ! Et ça m'a sauvé la tête. Par contre, le dos, les côtes... ça va pas du tout.
La douleur est si forte que je ne peux pas me relever. J'ai un genou qui pisse le sang. Comme tout ceci s'est passé juste devant le poste de l'éclusier, je crie à l'aide. Des gens arrivent, on appelle les pompiers car vraiment, ça va pas du tout. Je parviens quand même à déchausser et ranger mes rollers dans mon sac à dos, puis à aller vider par terre le contenu de mes bouteilles, car désormais je sais que ma rando est foutue, et peut-être aussi
le Mans la semaine prochaine. On roule dans le camion de pompiers vers Metz... On arrive à l'hôpital Bon Secours... où je poireaute pendant 3 heures qu'on s'occupe de moi. La radio ne révèle cependant pas de fracture aux côtes. Par contre, c'est enflé, et j'ai toutes les peines du monde à marcher.
Je sens bien un "clic-clac" quelque part au niveau des côtes flottantes, et comme ils me l'ont dit à l'hôpital, la radio ne permet pas forcément de voir ce qui est fêlé. Il est 16h00 lorsque je sors enfin de l'hôpital, j'ai un gros pansement au genou, je boîte, j'ai de la peine à bouger le dos, et je m'assois sur un trottoir pour rechausser mes rollers et mettre mon casque sous le regard incrédule de quelques malades et infirmiers.
Je mets 45 minutes à regagner la maison, tout doucement, sans forcer (de toutes façons je ne peux vraiment pas forcer !) et les grandes montées sont un calvaire, que je me résigne à endurer malgré la douleur.
Ce soir j'ai eu droit à un bon massage... et on a clairement senti un petit bout de côte flottante qui se baladait. Au moins ça ne m'empêche pas de respirer ni de tousser. (enfin pas trop fort non plus).
Que je me choppe des barrières cachées en embuscade passe encore, mais des barrières en plein milieu du chemin, comme ça, bêtement, c'est vraiment trop con. En fait si j'avais pas porté ces lunettes en plastique rayé, j'y aurais vu un peu plus clair...
Et puis j'y pense : le casque m'a sauvé, mais vraiment sauvé : il faut avoir vécu ça pour se rendre compte de l'importance du casque.
Maintenant, je suis dans l'attente et dans l'incertitude pour le Mans : est-ce que je serai remis d'aplomb d'ici une semaine ?
Le lendemain, nette amélioration. En faisant quelques mouvements, quelque chose a craqué et s'est "remis en place" dans mon dos.
J'ai beaucoup gagné en mobilité et les douleurs ont diminué en intensité.
Une petite douleur sur l'arcade sourcilière droite me renseigne sur la nature du coup que j'ai reçu : si je n'avais pas eu de casque, je serais dans le meilleur des cas à l'hôpital à l'heure qu'il est. Dans le pire... à la morgue.
Le surlendemain, retour en force des douleurs. Le coup classique : ça fait vraiment mal 2 jours après. ça bouge beaucoup à l'intérieur (côtes flottantes cassées) et tout ce qui est rotation inclinaison du buste quasiment impossible.
- Régis
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- Contact :
Aïe, j'ai mal pour toi.
Pour information (à moins que tu n'y es pensé) , sâche que tu pouvait te faire rapatrier au frais de ton assurance jusque chez toi en disant que c'était le seul moyent et que tu n'était pas en état de rentrer en roller.
Pour LE MANS. Effectivement ce n'est pas raisonnable, santé d'abord.
Hélàs, tu n'e pas le seul à être blessé et à ne pas faire LE MANS.
Tu n'as rien à regretter parceque tu vis ton rêve avec tes rêves et tu fait rêver certains.
Pour information (à moins que tu n'y es pensé) , sâche que tu pouvait te faire rapatrier au frais de ton assurance jusque chez toi en disant que c'était le seul moyent et que tu n'était pas en état de rentrer en roller.
Pour LE MANS. Effectivement ce n'est pas raisonnable, santé d'abord.
Hélàs, tu n'e pas le seul à être blessé et à ne pas faire LE MANS.
Tu n'as rien à regretter parceque tu vis ton rêve avec tes rêves et tu fait rêver certains.
- gui_gui
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- Enregistré le : 28 nov. 2004 13:48
Merci,
je regrette quand même beaucoup : pour moi le Mans aurait dû être une première" au sein d'une équipe Miss'ils prestige vétérans. J'observe désormais ce qui se passe sur mon écran, et c'est ça qui fait le plus mal… On dit souvent que ce qui ne tue pas rend plus fort… à ce tarif-là avec toutes le gamelles que je me suis prises, je devrais être bien BALAIZE à c't'heure…
je regrette quand même beaucoup : pour moi le Mans aurait dû être une première" au sein d'une équipe Miss'ils prestige vétérans. J'observe désormais ce qui se passe sur mon écran, et c'est ça qui fait le plus mal… On dit souvent que ce qui ne tue pas rend plus fort… à ce tarif-là avec toutes le gamelles que je me suis prises, je devrais être bien BALAIZE à c't'heure…

- feutrier thierry
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effectivement je suis passé par cet endroit hier en matinée, profitant d'une pause d'une heure dans le Ch de France roller danse à Hettange de mes filles . Le ralentisseur en bas de cette descente est très surprenant, mais comme je l'avais vu à l'aller pas de soucis ; il y a aussi un panneau vitesse limitée pour les vélos !!!
S'il n'ont pas vu de fractures sur les radios, à moins qu'elles soient de mauvaise qualité ou que le radiologue soit mal voyant, tu ne doit rien avoir et c'est tant mieux ; par contre tu as du bien te bouger les vertèbres dans le dos : ostéo
Dommage pour Le Mans, ça aurait été une expérience intéressante avec les filles des miss'iles
S'il n'ont pas vu de fractures sur les radios, à moins qu'elles soient de mauvaise qualité ou que le radiologue soit mal voyant, tu ne doit rien avoir et c'est tant mieux ; par contre tu as du bien te bouger les vertèbres dans le dos : ostéo
Dommage pour Le Mans, ça aurait été une expérience intéressante avec les filles des miss'iles
- feutrier thierry
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le pont en travaux est pénible aussi après richemont, à l'aller je suis passé par le haut en marchant sur la piste, au retour je me suis tenu au portail pour faire le tour par l'herbe et reprendre la piste sous le pont (qui ne m'est pas tombé dessus ouf !
l'autre pont (Mondelange ?) qui était en travaux il y a 2 ans lors de mon passage est bien refait par contre
La chance que vous avez d'avoir des pistes comme celle la en enrobé lisse, le long du canal
l'autre pont (Mondelange ?) qui était en travaux il y a 2 ans lors de mon passage est bien refait par contre
La chance que vous avez d'avoir des pistes comme celle la en enrobé lisse, le long du canal
-
- Messages : 24
- Enregistré le : 27 mai 2010 14:46
C'est celui de Talange mais tu y étais presque. Ils ont bien bossé c'est vrai.feutrier thierry a écrit :le pont en travaux est pénible aussi après richemont, à l'aller je suis passé par le haut en marchant sur la piste, au retour je me suis tenu au portail pour faire le tour par l'herbe et reprendre la piste sous le pont (qui ne m'est pas tombé dessus ouf !
l'autre pont (Mondelange ?) qui était en travaux il y a 2 ans lors de mon passage est bien refait par contre
La chance que vous avez d'avoir des pistes comme celle la en enrobé lisse, le long du canal
Bon rétablissement guigui. J'espère que tu seras rapidement sur tes roues.
Va falloir que je fasse gaffe la prochaine fois on dirait.
- gui_gui
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C'est bien ma veine… je sais que c'est de ma faute à 100%, c'était à moi de faire gaffe… La prochaine fois pas de lunettes de soleil, j'y vois que dalle avec ça… @Thierry : je ne pense pas qu'à la radio on voie des fêlures sur des côtes flottantes cartilagineuses : et pourtant ça fait bien douiller… Et puis, quand on me masse, on est bien 2 à sentir des trucs cliqueter (elle, sous ses doigts, et moi, dans mes côtes !) Même parfois quand je bouge, ça bouge tout seul là-dedans, je vous assure.
Pour ce qui est des vertèbres, pour l'instant, aucune douleur suspecte à ce niveau-là. A mon avis la douleur est principalement due à la "viande" qui s'est fait massacrer…
Mais bon c'est vrai qu'on a de la chance d'avoir cette piste, c'est bon pour l'entraînement. Pour ce qui est des Miss'iles, des 24H du Mans, ben oui, là, je suis amer…
Pour ce qui est des vertèbres, pour l'instant, aucune douleur suspecte à ce niveau-là. A mon avis la douleur est principalement due à la "viande" qui s'est fait massacrer…
Mais bon c'est vrai qu'on a de la chance d'avoir cette piste, c'est bon pour l'entraînement. Pour ce qui est des Miss'iles, des 24H du Mans, ben oui, là, je suis amer…
- Régis
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Ca m'est arrivé il y a quelques années au ski et le docteur n'avait rien vu, et vieil apparail.feutrier thierry a écrit :S'il n'ont pas vu de fractures sur les radios, à moins qu'elles soient de mauvaise qualité ou que le radiologue soit mal voyant, tu ne doit rien avoir et c'est tant mieux
Radio de contrôle 8 jours après, fracture de l'épaule, après avoir vu la 1ère radio au village, j'ai fini par voir la fracture.
Fais en une de contrôle, en esperant bien sur que tu n'ai rien.
- Régis
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- gui_gui
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Thierry, ton professionnalisme jette un doute sur mes propos, aussi suis-je désolé d'avoir recours à un procédé aussi trivial que la citation wikipédiesque : j'essaye surtout de comprendre pourquoi à la radio ils ne voient aucune fracture alors que ça se bringueballe dans tous les sens sous mon capot !
En effet, sur wikipédia, il est écrit qu'en ce qui concerne les 4 dernières côtes en bas, (donc justement celles-là que je pense bien m'être cassées) :
A l'hosto ils m'ont prescrit une gaine de maintien lombaire : une sorte de grosse gaine avec scratch velcro qui comprime : ça aide beaucoup. Je précise que le simple fait de marcher me lance des douleurs dans les côtes, j'avance à 2 kmh. ça fait la 4eme fois que je me casse des côtes, mais cette fois-ci c'est la plus handicapante. Et à chaque fois j'en ai eu pour 6 semaines avant de recouvrer une mobilité normale. Cette fois-ci ne devrait pas échapper à la règle...
En effet, sur wikipédia, il est écrit qu'en ce qui concerne les 4 dernières côtes en bas, (donc justement celles-là que je pense bien m'être cassées) :
Mais il est exact que ces côtes ne sont pas à 100% cartilagineuses." les côtes K8 à K10 sont appelées « fausses côtes », et leur cartilage n’est pas uni au sternum, mais à celui de la côte sus-jacente ;
les côtes K11 et K12, les « côtes flottantes », se terminent par un cartilage libre."
A l'hosto ils m'ont prescrit une gaine de maintien lombaire : une sorte de grosse gaine avec scratch velcro qui comprime : ça aide beaucoup. Je précise que le simple fait de marcher me lance des douleurs dans les côtes, j'avance à 2 kmh. ça fait la 4eme fois que je me casse des côtes, mais cette fois-ci c'est la plus handicapante. Et à chaque fois j'en ai eu pour 6 semaines avant de recouvrer une mobilité normale. Cette fois-ci ne devrait pas échapper à la règle...
- feutrier thierry
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les côtes flottantes sont très courtes, tu les sens en fait au niveau du creux de la taille, vraiment sur les cotés, et pas du tout devant
en principe un cartilage n'est pas innervé donc pas douloureux à la casse
moi je pense plutôt à des vertèbres "déplacées" à faire remettre. Tes douleurs corespondent plus à des irradiations
en principe un cartilage n'est pas innervé donc pas douloureux à la casse
moi je pense plutôt à des vertèbres "déplacées" à faire remettre. Tes douleurs corespondent plus à des irradiations
- feutrier thierry
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