Voila, je me pose une question.
Suite à différents reportages sur le travail de nuit, qui n'est pas le même que le jour, question d'habitude et de biorythme, plus dur, comment vous entrainez-vous en préparation à rouler de nuit, comme dans des 24 H.
Bien sur, rouler n'est pas un travail en entreprise, mais un travail d'effort.
Ce n'est pas évident de concilier travail, fatigue après le travail, puis entrainement.
Vous devez vous habituer donc à prendre un rythme.
[Entraînement] S'entrainer à rouler de nuit
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- Régis
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en roulant la nuit ???
Bon, en fait, j'ai pas de soucis: je bosse en 3x8 donc j'ai pas trop de soucis avec les décalages.
Je ne suis pas sûr qu'il y ai vraiment d'entrainement: c'est essentiellement le mental qui fait les choses.
Il est très différent de gérer les courtes périodes de sommeil d'une épreuve de 24h et les décalages issus d'un travail régulier en roulement où tu as de longues périodes de sommeil (au moins 11h entre 2 périodes de travail en général plus).
Le rythme des 24h n'est pas un rythme dont il faut prendre l'habitude car trop répété il serait réellement néfaste sur la santé. C'est totalement inutile de s'entrainer à rouler à 3h du matin.
Donc le jour J (ou plutôt la nuit N), c'est surtout le mental qui te fera lever et rouler à 3h du matin.
La clef est plutôt la capacité à s'endormir rapidement et efficacement pour avoir un sommeil le plus réparateur possible, y compris lorsqu'il y a du bruit, de la lumière et un confort parfois sommaire. En général, l'effort fourni est déjà une bonne aide. Une douche et tout élément relaxant est aussi le bienvenue. Enfin, avoir une sorte de "rituel" pour s'endormir pour que le corps et l'esprit se prépare au sommeil, le rituel donne un signal.
C'est une combinaison que j'utilise au quotidien:
- après des nuits de boulot (jusqu'à 7h), je fais une sieste matinale environ de 8h~8h30 à 12h (13h max). L'après-midi ou en début de soirée: un bon entrainement pour fatiguer sainement le corps et se coucher pas trop tard (22h, 23h max). ca me recale direct.
- mon rituel est très simple, bouquiner au lit près à poser mon livre dès les premiers signes de somnolence.
- je dors la fenêtre ouverte ou entre-ouverte en hivers, je suis donc habitué à la fraicheur et au bruit de la ville (Paris avec une école au pieds de la tour, bruitante à 9h du matin).
Un rituel du levé permet aussi un réveil plus facile: avoir ces affaires prêtes (vêtements...), un "planning type" (lever, WC, toilette, petit déj...) voir un type déj type. Pas besoin de réfléchir ni de se prendre la tête. A un horaire dont tu n'as pas l'habitude, il faut que tout le reste soit déjà une routine. A la fin de la routine, tu est prêt à affronter ta journée.
Petit cas "extrème": pour couvrir les bruit des run de moto au Mans, je me met sur les oreilles de la musique relativement forte que d'aucun qualifierait de bourrine (exemple: Deftones, Tools... un bon petit métal quoi). Ca couvre le bruit de moto et comme c'est une musique que j'ai habitude d'écouter, il n'y rien d'inattendu pour le cerveau: c'est finalement assez reposant pour dormir presque normalement. En générale, je me réveille lorsque la musique s'arrête.

Bon, en fait, j'ai pas de soucis: je bosse en 3x8 donc j'ai pas trop de soucis avec les décalages.
Je ne suis pas sûr qu'il y ai vraiment d'entrainement: c'est essentiellement le mental qui fait les choses.
Il est très différent de gérer les courtes périodes de sommeil d'une épreuve de 24h et les décalages issus d'un travail régulier en roulement où tu as de longues périodes de sommeil (au moins 11h entre 2 périodes de travail en général plus).
Le rythme des 24h n'est pas un rythme dont il faut prendre l'habitude car trop répété il serait réellement néfaste sur la santé. C'est totalement inutile de s'entrainer à rouler à 3h du matin.
Donc le jour J (ou plutôt la nuit N), c'est surtout le mental qui te fera lever et rouler à 3h du matin.
La clef est plutôt la capacité à s'endormir rapidement et efficacement pour avoir un sommeil le plus réparateur possible, y compris lorsqu'il y a du bruit, de la lumière et un confort parfois sommaire. En général, l'effort fourni est déjà une bonne aide. Une douche et tout élément relaxant est aussi le bienvenue. Enfin, avoir une sorte de "rituel" pour s'endormir pour que le corps et l'esprit se prépare au sommeil, le rituel donne un signal.
C'est une combinaison que j'utilise au quotidien:
- après des nuits de boulot (jusqu'à 7h), je fais une sieste matinale environ de 8h~8h30 à 12h (13h max). L'après-midi ou en début de soirée: un bon entrainement pour fatiguer sainement le corps et se coucher pas trop tard (22h, 23h max). ca me recale direct.
- mon rituel est très simple, bouquiner au lit près à poser mon livre dès les premiers signes de somnolence.
- je dors la fenêtre ouverte ou entre-ouverte en hivers, je suis donc habitué à la fraicheur et au bruit de la ville (Paris avec une école au pieds de la tour, bruitante à 9h du matin).
Un rituel du levé permet aussi un réveil plus facile: avoir ces affaires prêtes (vêtements...), un "planning type" (lever, WC, toilette, petit déj...) voir un type déj type. Pas besoin de réfléchir ni de se prendre la tête. A un horaire dont tu n'as pas l'habitude, il faut que tout le reste soit déjà une routine. A la fin de la routine, tu est prêt à affronter ta journée.
Petit cas "extrème": pour couvrir les bruit des run de moto au Mans, je me met sur les oreilles de la musique relativement forte que d'aucun qualifierait de bourrine (exemple: Deftones, Tools... un bon petit métal quoi). Ca couvre le bruit de moto et comme c'est une musique que j'ai habitude d'écouter, il n'y rien d'inattendu pour le cerveau: c'est finalement assez reposant pour dormir presque normalement. En générale, je me réveille lorsque la musique s'arrête.